Sommaire de la revue de presse des derniers ouvrages d'Anouar Benmalek

                                                                                                                                                                                           

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Les amants désunis, roman, Ed. Calmann Lévy, 1998, Paris ; Ed. Livre de Poche, 2000 ; Prix Mimouni 1999 (traduit en 10 langues, sélections Fémina et Médicis).

L'enfant du peuple ancien, roman, Ed Pauvert, août 2000, Paris ; Ed. Livre de Poche, 2002 ;  Prix des auditeurs de la RTBF (Radio Télévision Belge) 2001,
Prix
RFO (Réseaux France Outre-mer) 2001, Prix BeurFM-Méditerranée 2001, Prix Millepages 2000 (sélection Fémina, sélection rentrée littéraire 2000
“ libraires et lecteurs ” de la Fnac, sélection du journal Le Soir de Bruxelles, sélection France Télévision, sélection Coté Femmes… traduction en 8 langues)

L'amour Loup , roman, Ed. Pauvert, février 2002, Ed. Livre de Poche, 2004, Paris

Chroniques de l'Algérie amère, Ed. Pauvert, janvier 2003, Paris

Ce jour viendra , roman, Ed Pauvert, septembre 2003

Ma planète me monte à la tête, poésie, Ed. Fayard, janvier 2005

L'année de la putain, nouvelles, Ed. Fayard, janvier 2006

Ô María, roman, Ed. Fayard, septembre 2006, Ed. Livre de Poche, août 2008

Vivre pour écrire, Ed Sedia, février 2007

Le Rapt, roman, Ed. Fayard, septembre 2009

Tu ne mourras plus demain, récit, Ed. Fayard, Ed. Casbah, octobre 2011

Le Penalty, nouvelle publiée dans "Enfants de la balle", Ed. Lattès, mai 2010

 

Revue de presse succincte des derniers ouvrages

 

Les amants désunis, roman, Ed. Calmann Lévy, 1998, Paris ; Ed. Livre de Poche, 2000 ; Prix Mimouni 1999 (traduit en 10 langues, sélections Femina et Médicis)                                                                         

Die Liebenden von Algier.    sélectionné pour le Fémina et le Médicis                                                               

choix de quelques articles (en français surtout) scannés sur Les Amants Désunis

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L'Express, Pascal Dupont, 10/9/98: "... Anouar Benmalek. Retenez bien ce nom. C'est l'une des plus brillantes signatures de la rentrée... Un Faulkner méditerranéen..."

Le Monde, Jean-Noël Pancrazi, 9/9/98: "... Art de visionnaire... Force tendre, sensualité... Fresque blessée dont la beauté défie tous les instincts de mort..."

Le Magazine Littéraire, Jean-Paul Dollé, octobre 98: "Si vous aimez les grands romans d'amour et d'aventure, si vous croyez que la littérature fait mieux comprendre les situations extrêmes que n'importe quel traité de stratégie... alors lisez Les Amants Désunis d'Anouar Benmalek... Un beau livre grave et déchirant..."

Témoignage chrétien, M. Ch., 29/10/98: "... Histoire bouleversante et dramatique... Ce beau récit..."

Le Point, P.N, 27/11/98: "Belle réussite... Pitié, tendresse et quelque chose qui ressemble à l'espoir!..."

L'Humanité, Régine Deforges, 4/8/98: "...Un roman remarquable et bouleversant... On souffre, on rit, on espère avec eux. Il faut lire ce très beau roman!..."

Marianne, Olivier Maison, 2/11/98: "... Cette saga romanesque revisite l'histoire du XXème siècle vue de l'autre côté de la Méditerranée..."

La Montagne, N.V.P., 30/10/98 "... L'une des révélations de la rentrée littéraire... Le public s'est emparé de cette fresque brûlante et l'écrivain algérien se trouve brutalement au sommet de la pyramide. Avec un possible prix Fémina..."

Gala, 1.10/98: "...Effroyable et magnifique, un roman qui dit l'amour, la vie, contre la folie des hommes..."

Elle, Régine Deforges,14/9/98:  " ... Remarquable... Ce livre [...] m'a beaucoup touchée..."

Lire, Ingrid Merckx, été 2000 : "... Les mots sonnent incroyablement juste, dans toutes les bouches, dans tous les dialectes... C'est un voyage ému au cœur d'une Algérie qui crie; de douleur, de révolte, mais aussi d'amour..."

Le Magazine Littéraire, février 2001 :  "... Une très belle chronique des jours durs et des âmes fortes..."

Le Nouvel Observateur, Dominique Fernandez, 5 Novembre 1998: "...Anouar Benmalek, sans forcer le ton, sans pathos, nous jette dans ce chaos de violence et de sang. La force de son livre vient de la sobriété du récit... Entre la vieille dame et le marmot se tisse une étrange et belle amitié. Pas d'idéalisation, oh non! ni d'un côté ni de l'autre... Le lecteur retiendra... l'image nue et crue du petit garçon sans enfance, martyr sans foi, rebut sans foi, rebut sans rédemption, agneau sans Dieu..."

El Watan, Farida A., 18/11/98, "... Un livre fort, une plume acérée, des personnages authentiques, un thème d'une brûlante actualité... Les ingrédients sont réunis pour faire de cette lecture un moment privilégié..."

Le Matin (Alger), Nassima Hand, 25/8/99: "... Dans le rire et les larmes... Amour et espoir au cœur  même du désespoir..."

Le Généraliste, M.P, 6/01/99: "... Magnifique et terrifiant! Les Amants désunis, de l'Algérien Anouar Benmalek, est un roman d'une exceptionnelle qualité émotionnelle..."

Télémoustique, Martin Smets, 21/10/98: "... Plume majeure... Une vraie parole de révolte..."

La Semaine, Kerenn Elkaïm, 9/10/98: "... Une écriture qui nous fait chavirer et trembler d'émotion..."

La Libre Belgique, Geneviève Simon, 13/11/98: "... Un des écrivains essentiels..."

Arts & Culture, M.P., 6/10/98: "... Écriture rigoureuse... Un livre majeur..."

Le Soir, Pascale Haubruge, octobre 98: "... Nourri par une passion amoureuse..."

Vers L'Avenir (Namur), Michel Paquot: "... Poignant roman... Un livre d'une force prodigieuse..."

Ciné-Télé-Revue, 20/8/98: "...Un livre fort, écrit d'une plume acerbe..."

Bonne Soirée, 26/8/98: "... Écrivain de talent..."

Le Nouveau Chroniqueur, Adlène M., 27/6/99: "... Un tour de force..."

Algérie Littérature Action, Dominique Le Boucher, Octobre 98: "... Anouar Benmalek vient de publier un roman, Les amants désunis, dont le grand écrivain Mohammed Dib nous écrit qu'il est magnifique..."

Le Guide de la bonne lecture, C. D, 2000: "... Anna, vieille femme usée par les souffrances de la vie, revient à Alger sur les traces de son seul vrai amour. Anna est suisse et a eu un destin exceptionnel : elle fuit sa famille, se réfugie dans un cirque, rencontre Nassreddine, le perd, le retrouve des années plus tard! Leur vie à tous deux sera illuminée par l'amour mais endeuillée par la bêtise humaine. Après la Guerre d'indépendance, la paix ne semble pas pouvoir s'installer dans ce pays, livré à la folie des terroristes! Un superbe roman d'amour, une peinture sans concession de l'Algérie..."

Africultures, Faycal Chehat, janvier 2002: "... Une belle histoire, une narration remarquable..."

Africultures, Chantal Lataix, février 2007: "... Merci, cher auteur, merci monsieur de gâter mon sommeil, de me réveiller dans ma tranquillité. Jamais aucun livre ne m'avait produit cette inquiétude devant la description, amoureuse pourtant, d'un pays qui s'entretue, devant la misère qui n'a pas de fond. Ayant 60 ans, j'avais une idée des guerres qui avaient existé entre colons et Algériens, et j'avais imaginé, des deux côtés, des atrocités; mais vous nous plongez dans la guerre civile, la pire de toutes les guerres. Je suppose qu'au moment de la résistance en France, il y a dû y avoir aussi la peur. C'était, dans ma famille, un sujet tabou. Merci, malgré votre souffrance de savoir, si magistralement parfois, nous faire partager la haine de ceux que vous aimez, cette peur et cette misère insoutenable qui est celle de biens des personnes actuellement encore sur cette planète..."

Africultures, Eléonore L., février 2007: "... Je n'ai jamais été autant émue par un livre. J'ai envie de l'offrir à tous ceux que j'aime..."

Canal Algérie, Yasmina Khadra, 6 novembre 2007 : "... J'ai été à Boston. Dans un hôtel, une dame s'est approchée de moi... Elle m'a parlé d'Anouar Benmalek. Elle était en pamoison devant cet auteur. Elle m'a dit, à propos des Amants désunis, c'est le livre qui m'a le plus bouleversé au monde. C'est magnifique..."

Lettre de Mohammed Dib, La Celles-Saint-Cloud, 8/10/1998: "Les amants désunis est un livre fort, qui rejettera dans l’oubli tous ceux qui, sur notre tragédie, poussent et foisonnent comme autant de mauvaises herbes. Vous avez osé y aborder de front quelque chose qui dépassent l’entendement et nous laisser pantelants d’horreur, mais cela pour faire véritablement œuvre de romancier et non d’opportuniste qui tirerait parti d’une actualité. Les Algériens ne sauraient que vous en être reconnaissants, comme je le suis ; ils peuvent rendre hommage à votre honnêteté, votre sérieux, voir dans votre admirable texte l’épopée que nous appelions de tous nos vœux, le monument qui perpétuera dans nos mémoires le souvenir des innocentes victimes d’un génocide satanique. Grâces vous soient rendues pour cela. Ne doutez pas que votre roman rencontrera un profond écho dans le cœur de chaque lecteur, que celui-ci soit Algérien ou non..."

 

Ciao! Shopping Intelligence, Lea Rafiki, April 20th, 2004Overall user rating The Lovers of Algier - Anouar Benmalek : "... A most fascinating novel about life in Algeria for the last fifty years...Once you start it, you won't be able to put it down..."

The independant, Amanda Hopkinson, 19 October 2001 : "...Arguably the most important novel by an Arab author to have emerged from that country in the intervening 50 years..."

St-Petersburg Times, John Freeman, September 20, 2004: "...Fiction should never be a kind of political wish fulfillment, but when scripted powerfully, it can imagine the impossible. In this searing and important tale, Anouar Benmalek has done just that..."

Bookforum, Suzanne Ruta, feb/mars 2007:  "... The love story between Anna, the trapeze artist on the lam, and her dreamy Algerian lover Nassreddine, plays out in vivid flashbacks spanning half a century, giving the book an unexpected lyric buoyancy. The tale evidences Benmalek’s faith that an erotic joie de vivre can make life bearable..."

Harvard Review, Kathleen Rooney,  12/01/2004: "... Benmalek picks up where Camus left off... Not only has Benmalek given us a vividly written, fabulously plotted, and well-paced story, so too has he given us the opportunity to examine the harrowing history of a country about which many of us know precious little... Luminous translation of Joanna Kilmartin...

The Times, Michael Caines, August 24, 2001: "... We can appreciate this miracle of understanding all the more thanks to this passionate novel..."

Les détours du temps dans les Amants Désunis, Sabine Ceysson, in "Scritture e forme del novecento francese", Flaccovio Editore  (article universitaire)

Entretien avec Anouar Benmalek, Sabine Ceysson, in "Scritture e forme del novecento francese", Flaccovio Editore  (article universitaire)

Revue de presse de l'édition américaine, parue sous le titre Lovers of Algeria.

Une présentation en anglais de Lovers of Algeria

A discussion in english in a blog about Lovers of Algeria

                                                                                Un extrait en anglais de Lovers of Algeria

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Revue de presse de l'édition allemande, parue sous le titre de Die Liebenden von Algier

 Un extrait en français du manuscrit avant publication sous son premier titre: "Je traverserai ta vie" publié par la revue Algérie Littérature Action n° 17, janvier 1998

 

 

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L'enfant du peuple ancien , roman, Ed Pauvert, août 2000, Paris ; Ed. Livre de Poche, 2002 ;  Prix des auditeurs de la RTBF (Radio Télévision Belge) 2001, Prix RFO (Réseaux France Outre-mer) 2001, Prix BeurFM-Méditerranée 2001, Prix Millepages 2000 (sélection Fémina, sélection Rentrée Littéraire 2000 “ libraires et lecteurs ” de la Fnac, sélection du journal Le Soir de Bruxelles, sélection France Télévision, sélection Coté Femmes… traduction en 8 langues)

                                                                                                                                                    placards dans le

    sélectionné pour le Fémina 

                                                                                                                                                        Choix de quelques  articles scannés sur "L'enfant du peuple ancien"

Le Monde, Jean-Luc Douin, 22/9/2000: "... L'enfant du peuple ancien n'offre pas seulement la trame d'un magnifique scénario [...]; Anouar Benmalek y déploie son talent à ancrer des histoires d'amour fou dans un contexte de terreur, à déminer les violences du siècle en leur opposant un contre-pouvoir romanesque fulgurant, à base de sensualité et d'universalité... Un roman d'amour et d'insurrection. D'une violence charnelle (entre blasphèmes et érections poétiques) pour dire le scandale des corps aimantés par le désir et séparés par la mort..."

Le Magazine Littéraire, Jean-Paul Dollé, septembre 2000: "... Ce roman, aux innombrables rebondissements, se dévore... Lisez ce palpitant roman d'aventure et d'amour. C'est un très beau livre..."

France deux, Geneviève Moll, journal télévisé, 15 septembre 2000: "... Un roman magnifique et poignant, un amour infini de l'humain..."

Le Journal du Dimanche, Daniel Picouly: "... Meurtres, enfermement, évasion, viol, voyages, naufrages, rires et larmes... On aime l'écriture de Anouar Benmalek. Son souffle. Son ciselé. Sa pudeur inflexible..."

Ouest-France, Georges Guitton, 13/10/2000: "... L'écrivain Anouar Benmalek, dans un magnifique roman L'enfant du peuple ancien, révèle ce que fut le génocide des Aborigènes de Tasmanie... Il faut lire le roman d'Anouar Benmalek, haletant roman d'amour et d'aventure, rempli de cruautés mais traversé par l'intense lumière de la confiance..."

Lire, Ingrid Merckx, octobre 2000: "... Vigueur de la narration... Coloration [...] profonde... Plus encore que son propose, c'est la langue d'Anouar Benmalek qui exprime la valeur des échanges..."

Le Vif/L'Express, Ghislain Cotton, 23/2/2001: "... Riche de sensualité... Conjugue les attraits de la saga romanesque avec la violence et l'émotion d'un drame humain..."

La Montagne, 17/9/2000: "... Aventures palpitantes. Avec du suspense. Des coups de théâtre. De l'amour. Et partout cette idée que la vie est infiniment respectable... Des pages bouleversantes: que l'on se donne le temps d'arriver au dernier chapitre, il est plus qu'émouvant, lumineux!"

Le Dauphiné Libéré, 12/10/2000: "... Relation forte et amoureuse... Un livre sur la dignité de la personne humaine...",

Le Parisien, Florence Ruzé, 2/11/2000: "... L'ouvrage a déjà été couronné par la critique et par les lecteurs..."

Le Monde, Frédéric Therin, 13 juin 2002, citant Andrew Rimer, critique littéraire au quotidien The Sydney Morning Herald: "... L'enfant du peuple ancien est un livre intègre qui dit quelque chose de vital sur la condition humaine..."

Plein Ciel, Marie Pierre Cambon, sélection 2000: "... Plus qu'un roman d'aventures, de passion ou d'histoire, Anouar Benmalek invente le roman d'humanité si universel qu'il est capable d'émouvoir tous les lecteurs. Un talent que confirme un autre roman à couper le souffle et à hanter vos nuits, Les amants désunis en livre de poche..."

Le Courrier de l'Ouest, 22/11/2000: "... Une fresque magnifique... Le sujet est grave et magnifiquement traité..."

Nice-matin, Clo Caldairou, 4/2/2001: "... C'est l'histoire bouleversante de la rencontre, puis de l'amour entre trois êtres que tout sépare... Anouar Benmalek s'y révèle, à travers des scènes terribles et poignantes, un conteur d'émotions très convaincant..."

Le Bien Public, J.R., 15/2/2001: "... Un nouveau monde... Le livre d'Anouar Benmalek est plus large qu'un simple roman d'amour et d'aventure: il est le roman éternel de l'immigrant perdu en pays hostile..."

Côté Femmes, 11/10/2000: "... Contant le naufrage d'une civilisation, Anouar Benmalek ne peut pourtant s'empêcher de parler d'amour..."

Salama, Salim Jay, Octobre 2000: "... Anouar Benmalek n'a peur de rien. Il peut raconter la Commune comme s'il y était. Il sait déchiffrer et restituer ce que fut la résistance algérienne à la colonisation. Il décrit les combats et répressions comme un sculpteur d'épopées... Aventures et amours rythment un récit trépidant... Un grand talent de témoin de l'amour... L'un des romans les plus impressionnants de la rentrée littéraire..."

Art Sud Méditerranée, Jean-Rémi Barland, octobre 2000: "... L'un des grands prosateurs de sa génération... Un texte magnifique... Un opéra baroque aux tragiques accents incantatoires... Sorte de requiem en l'honneur d'une communauté ethnique rayée de la carte par des assassins impunis, psaume d'amour uni par-delà la mort à une compagne choisie au milieu d'un océan de contradictions... Chantre d'un humanisme pétri de ténacité, de panache et de courages exemplaires..."

Epok, 9/10/2000: "...  Anouar Benmalek nous entraîne, page après page, dans les bas-fonds de l'espèce humaine... Les mots font mal, vrillent, fouillent et pourtant la vie continue, portée par un amour immense, plus fort que tout, une volonté farouche qui nous ouvrent les portes de la dignité, de la première à la dernière phrase, et même bien après. Un livre que vous aurez du mal à oublier..."

Page, septembre 2000: "... Les personnages d'Anouar Benmalek illustrent à merveille les ambiguïtés du cœur humain, la douleur inextinguible de l'exil. Ce beau roman projette en outre une lumière crue sur un génocide plus que méconnu, celui des Aborigènes..."

Qantara, Salim Jay, automne 2000: "... Vigueur et lyrisme... Réussite pleine et entière..."

Valeurs mutualistes, mars 2001: "...Grand roman d'aventures et d'amour... Un texte fort, émouvant..."

Algérie Littérature Action, Dominique Le Boucher, n° 47 janvier/février 2001: "... Un incroyable malentendu... attachant... extrêmement dérangeant... fascinant..."

Notes Bibliographiques, ( UNCBPT) novembre 2000: "... Épaisseur de chair... Roman d'aventure sensuel et mouvementé..."

Sucy Info, décembre 2000: "Il [Benmalek] essaye de comprendre même le tortionnaire... Il montre l'homme tel qu'il est, banal, ordinaire, capable du meilleur comme du pire..."

L'Autre Rive, mai 2001: "... Benmalek ne gomme ni la méfiance, ni la cruauté qui divisent. mais il célèbre aussi l'attirance des corps, l'amour fou dont la puissance permet d'affronter et de dépasser l'injustice, l'exclusion et la sauvagerie..."

Afrik.Com, Olivia Marsaud, 13/10/2000: "... Le dernier livre d'Anouar Benmalek se dévore. Et vous dévore. Car l'émotion est là, au détour de chaque page, au détour de chaque phrase. " J'ai au fond de la gorge des sanglots tapis comme des chacals à l'affût ", une phrase que peut reprendre à son compte le lecteur, pris dans la vertigineuse histoire de L'Enfant du Peuple Ancien... " 

Hommes et Migrations, M.H., janvier 2001: "... Avec tendresse et humanisme, Anouar Benmalek imagine l'improbable, le miraculeux... Il donne à entendre ce qu'il peut y avoir de meilleur chez les hommes: des paroles d'humanité, à peine audibles, qui s'élèvent tel un contre-chant face au tumulte et à la barbarie..."

La Libre Belgique, Francis Matthys, 17/2/2001: "... Le Prix des Auditeurs de la RTBF couronne l'enfant du peuple ancien... L'un des tout premiers à féliciter Benmalek aura été Tahar Ben Jelloun..."

Le Soir (Belgique), Pascale Haubruge, 30/8/2000: "... Il y a dans cet Enfant du peuple ancien quelque chose de bouleversant, actuel et éternel, profondément humain. Voyage initiatique à travers l'Histoire, l'ouvrage est de ceux qui s'inscrivent dans les mémoires pour y rester longtemps..."

Vers l'Avenir (Belgique), M.P., 13/1/2001: "... L'enfant du peuple ancien est un roman multiple. Un roman d'aventure, bien sûr: l'auteur possède un beau souffle romanesque... Roman d'amour aussi... Et c'est enfin, dans une certaine manière, un roman politique..."

La revue des romans, Geneviève Simon, indications 2000,: "... Une écriture limpide, juste, vivante, agréable. S'y ajoutent un prologue et un épilogue très émouvants. L'ultime page lue, reste l'incompréhension face aux génocides, quels qu'ils soient. "Pourquoi nous ont-ils faits ça? Pourquoi nous ont-ils exterminés?... Ces milliers d'années qu'on a vécues, ça a servi à quoi? Des questions malheureusement toujours d'actualité..."

Liberté, M.A., 7/7/2002: "...Richesse d'imagination, sens de la dramaturgie... Un roman d’aventures palpitant... Le roman se laisse littéralement dévorer..."

Le Matin, Samir Abdelmoumène, 29 Août 2002: "... l'histoire récente et passée de l'Algérie, celle du monde arabe aussi, est toujours présente... Richesse du matériau romanesque que constitue l'histoire une fois débarrassée du politiquement correct..."

Le Jeune Indépendant (Algérie), Djamel Z., 22/8/2000: "... Un homme pour qui la plume demeure le meilleur des arsenaux... C'est cette "arme"-là dont usera Anouar Benmalek pour raconter crûment l'amère vérité d'ici et d'ailleurs..."

Le Matin (Algérie), H. El Harim, 18/8/2000: "... Une histoire universelle qui ne puise pas dans l'immédiat mais d'une actualité certaine..."

Tassili Magazine, Ali Hadj-Tahar, août 2001: "...Histoire mouvementée, palpitante et pleine de suspense qui nous entraîne de Biskra, de Syrie en Tasmanie puis en Australie... Pages fortes écrites avec les tripes..."

The Times, Marco Notarianni , December 12, 2003: "... "... The Child of an Ancient People... confirms Anouar Benmalek as an exciting voice..."  

Literary Review:  "...The product of a wide-ranging literary imagination ..." 

Glasgow Herald : "... This epic tale is relayed with clarity and deeply felt passion ..." 

Scotland on Sunday: "... This novel raises interesting questions about Tasmanian history and the nature of identity and race-a work of fiction concerned with putting flesh on the bare bones of history, and it does this excellently ..." 

The Age, Melbourne: "... A  crime is a crime even it was done in the 19th century..."

The Sydney Herald Tribune, Andrew Riemer, 11 may 2002: "... L'Enfant du peuple ancien - an admirable achievement... Benmalek's novel is a passionate lament for what he calls ''a perfect genocide". It is dedicated to Truganini, ''who died on the 8th of May 1876, the last representative of the Aborigines of Tasmania, a people erased from the face of the earth". Its power and intensity are much enhanced by the counterpoint Benmalek establishes between that outrage and the brutal suppression in 1871 of the Algerians' revolt against the French and of the Paris Commune of the same year... When it was published in France, the novel was enthusiastically received. In the opinion of critics, Benmalek had lifted the veil from a terrible though little-known chapter in the history of persecution and race hatred... "

The New Zealand Herald, Louise Nisbet-Smith, January 20, 2005: "... Written by an Algerian and translated from the French, it is set in the late 19th century and describes the adventures of an Algerian Arab (Kader), a Frenchwoman (Lislei) and an Aborigine boy (Tridarir)... The Child of an Ancient People is short, action-packed and sometimes nail-bitingly exciting... The language is often poetic and quite beautiful... tense and emotive..."

Australian Book Review, Caterson, Simon, March 2004: "...The Child of an Ancient People is dedicated to the memory of Truganini and her people, the victims of what, Benmalek says, is 'a perfect genocide: its victims forgotten, the murderers free of blame'. Though there is a note of hope in the ending, the novel is evidently intended to register, via the vehicle of historical fiction, a fierce protest on behalf of all the dispossessed and persecuted indigenous peoples of the modern world. And on its own uncompromising terms, it succeeds..."

 Extracts of "The Child Of An Ancient People

O Filho do Povo Antigo (édition portugaise): présentation du roman

O Filho do Povo Antigo (édition portugaise): entretien avec l'auteur

Leselust, (édition allemande) : "Fremde Sterne

Lettre de Mohammed Dib, La Celles-Saint-Cloud, 28/1/2001: "Merveilleux roman que l'Enfant du peuple ancien! Bravo, bravo. Avec ce livre, tu te hausses au niveau d'un Joseph Conrad, qui a écrit son "Lord Jim" à l'âge que tu as aujourd'hui. Et bon sang, cette façon de nous sortir de la ghettoïsation de la littérature maghrébine comme de conchier ces misérables histoires d'identité, quel panache! Merci..."

Le Film Français, 20 mai 2007: "... [Le film étant] budgété entre 12 et 15M d'euros, Isabelle Carré et Sami Bouajila sont intéressés par les premiers rôles avec Frédéric Auburtin (Un pont entre deux rives) à la réalisation, qui a coécrit l'adaptation avec François Déon..."

El Watan, Zineb Merzouk, 21 juin 2007: "Le roman d'Anouar Benmalek sera adapté au cinéma. "J'espère qu'il sera loyalement trahi", nous a confié l'écrivain... Le roman est émouvant, profondément humain et sincère..."

La Nouvelle République, R.C, 14 juin 2007: "L'enfant du peuple ancien adapté au cinéma..."

La Nouvelle République, Nadia Agsous, 12 septembre 2007: "... Une histoire passionnée et passionnante; une histoire qui pénètre l’imaginaire, l’envahit et le possède pour mieux le féconder; une écriture où l’irruption, le surgissement et le suspense tiennent les lecteurs en haleine et jouent de leurs sentiments et de leurs émotions. Peur. Peine. Chagrin. Tristesse. Douleur. Joie. Bonheur. Empathie. Sympathie. Haine. Amour..."

La Nouvelle République, Hassina A., 1 novembre 2007: (à propos de la traduction en arabe de l'Enfant du peuple ancien ):  "... Pour l'auteur, «la culture est un secteur aussi stratégique que l’armement, c’est pourquoi l’Algérie doit le prendre à bras le corps. Il faut que les responsables comprennent que la traduction n’est pas un luxe mais une nécessité (…). La tolérance s’acquiert par la culture et c’est le meilleur barrage contre la violence»..."

Papalagui, Christian Tortel, 30 octobre 2007: "... à lire... l'excellent roman d'Anouar Benmalek... "

Cahiers Robinson, n°12, 2002, Christiane Chaulet-Achour: "... Anouar Benmalek est désormais auteur d'une œuvre conséquente le plaçant parmi les écrivains algériens les plus marquants..."

Algérie Littérature Action, mars avril 2007 (dossier sur Anouar Benmalek): "... Comment imaginer livre plus complet ? Anouar Benmalek a ici encore écrit un chef d'œuvre.... Une écriture pudique mais puissante..."

News From Nowhere, 2004: "... Epic novel of passion and high adventure culminating in a deeply moving and extraordinary love story..."

The Scotsman, Janet Christie, 05 October 2003:  "... This is a work of fiction, concerned with putting flesh on the bare bones of history, and it does this excellently..."

Yasmina Khadra, in "L'Imposture des mots", ed. Julliard, 2002: " Anouar Benmalek.... Grande générosité, écrivain de talent

 

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L'amour Loup , roman, Ed. Pauvert, février 2002, Ed. Livre de Poche, 2004, Paris    placard dans

Le Magazine Littéraire, Daniel Martin, avril 2002: "... Les camps palestiniens sont des lieux que le roman fréquente peu. Ce qui fait de L'Amour Loup une remarquable exception... Des sentiments, du suspense... La tragédie n'est pas loin..."

Lire, Ingrid Merckx, mars 2002: "... L'Amour Loup à son début déroute, puis, au chapitre trois, il happe... Pas de larmes ni de leçon de morale dans ce récit, tantôt ctu tantôt désabusé... Les personnages [...] mettent en avant des réactions, la complexité des situations et des sentiments..."

Ouest-France, Christine Brulé, 31/3/2002: "...Dans L'Amour Loup, Anouar Benmalek raconte ces sentiments humains qui survivent dans l'horreur et dit combien il est difficile de se prémunir contre la haine en soi. Un livre qui donne envie, vraiment, de s'intéresser au monde..."

L'écho du Centre, Jacques Morlaud, 2à/3/2002: "... Terriblement d'actualité... Grande importance aux personnages secondaires..."

Côté Femmes, Françoise Huart, 27/3/2002: "... doté d'un sens du romanesque fulgurant et d'une écriture au scalpel... quête de l'amour fou dans un Liban déchiré par la guerre civile. Un cri de désespoir, un souffle d'espoir..."

L'Est Républicain, 15/10/2002: "Un coup au cœur..."

Radio France: " Coup de cœur de Radio France:   Anouar Benmalek mêle avec une grande maîtrise la tradition de la poésie arabe, les procédés du conte et le récit réaliste pour dire le chatoiement douloureux et complexe de l'Orient... "

Oh Là!, A.F., 13/3/2002: "... Nawal [...] est sublime, mystérieuse, écorchée vive... Anouar Benmalek livre une réflexion sur la "malédiction" d'être arabe... à  méditer..."

Page, Betty Duval-Hubert, mars 2002: "... Alliance de passion et de férocité dévorante. Cet ouvrage est brûlant, mordant... Vous en resterez peut-être sans voix..."

La Montagne, Daniel Martin, 24/2/2002: "... Entre Palestine et Algérie, un roman ample et plein d'informations. De quoi ouvrir les yeux..."

Page, Sandrine Maliver-Perrin, août 2004: "... Une écriture tour à tour crue ou lyrique sert ce texte bouleversant... Un livre remarquable, qui dénonce l'ignorance, l'égoïsme et la stupidité des hommes..."

Le Soir (Belgique), Pascale Haubruge, 27/2/2002: "Quand l'Amour Loup vous croque... Il évoque avec force quelques barbaries d'un âge tragiquement nôtre..."

Vers L'Avenir (Belgique), Michel Paquot, 13/4/2002: "... Un roman extrêmement fort et douloureux... Il confirme que l'auteur des Amants Désunis et de l'Enfant du peuple ancien est l'un des grands écrivains d'aujourd'hui... Il faut lire les livres d'Anouar Benmalek... "

Arabies, avril 2002: "... Peu de livres atteignent cette densité et cette violence. C'est bouleversant..."

Notes bibliographiques, ( UNCBPT) 18/3/2002: "... Roman prenant par son style et sa construction maîtrisée..."

Nuit Blanche (Belgique), été 2002: "... L'insoutenable réalité... Et le scandale perdure..."

Paru.Com, Thomas Régnier, 21/3/2002: "... Le livre apparaît, à la fin, comme ce qu'il est: un roman nu, poignant, sublime par moments, une déroutante alchimie d'ironie froide et de poésie..."

E-novateur.Org, Catherine Siguret, 25 mars 2002: "... On reprend le livre pour savoir à quel moment on s'est laissé envelopper, à quel mot, à quelle phrase, notre âme a basculé pour ne devenir que "le livre" du matin au soir. Mais les livres, c'est comme l'amour, et notamment chez Benmalek, il est difficile de dater le commencement de l'insidieux basculement du cœur à l'intérieur, dedans, vraiment dedans, ferré tendrement et fermement, à ne plus désire en sortir... Une histoire d'amour magnifique... L'Amour Loup donne envie de ne plus perdre la vie qui passe à portée de lèvres et qui s'enfuit si vite..."

Dajaïr2003.com, Olivia Marsaud, 10/3/2003: "... Les lecteurs qui ont aimé ou adoré Les Amants Désunis et L'Enfant du peuple ancien retrouveront l'écriture d'Anouar Benmalek, cette virtuosité entraînante qui prend aux tripes, mêlant douleur et plaisir..."

LeLibraire.Com, 28/10/2002: "...Un beau livre, pour croire désespérément en un monde meilleur..."

Musique3, RTBF, Dolorès Oscari, 6 octobre 2002:  "... Anouar Benmalek est, semble-t-il, un paradoxe vivant. En lui, trois personnages cohabitent dans un enrichissement mutuel. L'un est mathématicien, fin spécialiste des phénomènes aléatoires qui consistent en la recherche des " lois " du hasard. L'autre est écrivain et chroniqueur, doté d'un sens du romanesque fulgurant et d'une écriture au scalpel. Le troisième enfin est un homme engagé qui, en Algérie d'abord et ailleurs également, se bat contre la torture, l'intégrisme musulman et pour une meilleure compréhension du monde arabe. Un monde auquel il est profondément attaché, tout comme Chaïbine, le héros de L'Amour loup

Cahiers Robinson, n°12, 2002, Christiane Chaulet-Achour, Université d’Artois: "... L'Amour loup, superbe roman..."

Lettre de Mohammed Dib, 14 février 2002: " C'est un livre formidable que L'Amour Loup! Il chie sur tout ce qui est convenu être un roman, il chie sur l'esthétique, la morale, la religion, la civilisation, pour ne s'attacher qu'à ce chien qu'est l'homme, surtout s'il est arabe, et cette chienne qu'est la vie, et pourtant il hisse le roman à un niveau rarement atteint dans quelque littérature que ce soit au monde. Par mon turban, tu peux être fier de toi. Et tu as rudement bien fait de tirer ce roman de la fosse à purin de l'Harmattan. Mais figure-toi que, dans un premier temps, j'ai cru qu'il s'agissait du livre dont tu me disais dans ton mot d'il y a quelques jours que tu commençais tout juste à l'écrire et j'ai failli tomber sur le cul quand je l'ai reçu. Bien à toi, cher, et que L'Amour Loup rencontre le succès qu'il mérite, amplement."

 

Extraits de L'amour Loup en anglais  traduit par "Words Without Borders - The Online Magazine for International Literature"

Feral Love: "... A tense border crossing and the limbo of love..."

 

 

 

 

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Chroniques de l'Algérie amère, Ed. Pauvert, janvier 2003, Paris

Jeune Afrique - L'Intelligent, Fouad Laroui, 18/6/2003: "...  "Quand est-ce que tout cela s'est réellement passé. Je veux dire: quand est-ce que, dans mon pays, une partie de mes concitoyens a estimé que le meurtre d'autres concitoyens était devenu normal, sinon moral?" C'est l'interrogation poignante qui ouvre Chroniques de l'Algérie amère... S'il fallait un seul mot pour caractériser Benmalek [...], ce serait celui de liberté. Liberté de penser, d'agir, liberté d'être... Il faut lire Benmalek, quel que soit le pays d'où l'on est, parce qu'il démonte, à coups d'anecdotes et de choses vues, le processus qui mène de la simple sottise au fanatisme... En attendant, il faut lire et faire lire des livres comme celui-ci. Pour que notre vigilance ne se relâche pas..."

Côté Femmes, 18/6/2003: " Anouar Benmalek a toujours mis son écriture au service de son pays et des siens... Un terrible cri de colère poussé par un enfant du pays..."

Paris Normandie, 2/4/2003: "... Ce livre est une façon d'exorciser une sorte d'étouffement et d'honorer le courage de ses compatriotes qui souffrent au quotidien..."

Notes bibliographiques ( UNCBPT), mars 2003: "... Cet écrivain, journaliste algérien, a observé, en critique, douloureusement désabusé, l'évolution politique de son pays, dénonçant en des billets publiés régulièrement dans d'importants journaux locaux les évènements tragiques qui s'y sont déroulés... Réflexions courageuses... Humour grinçant et lucide... Son constant et son témoignage sont poignants..."

Le Havre Ville, 6/2/2003: " ... Rendez-vous poignant..."

La Nouvelle République (Algérie) , Hassina A., 2/4/2003: "...  Anouar Benmalek nous dévoile certains travers de la société [algérienne]. Il met à chaque fois l'accent sur ces maux, à la fois sourds et insidieux, qui gangrènent la société... Avec la subtilité qu'on lui connaît et... reconnaît, il "débanalise" certains faits auxquels nous nous étions accoutumés par la force de l'habitude... Le résultat fait mal..."

Le Matin (Maroc), Ingrid Merckx, 8/11/2003: "... Les textes les plus forts sont ceux où Anouar Benmalek confie son sentiment intime... Le ton est libre, presque "libéré", le style percutant, le discours motivant, et le constat souvent consternant... Un document de valeur pour tous les Algériens, les exilés, et tous ceux qui s'intéressent de près ou de loin au monde arabe. D'autant que ces chroniques [...] sont parfois effrayantes de résonance avec aujourd'hui...

La Voix du Cantal, L. Nozières, 17 juillet 2003: " Anouar Benmalek, journaliste, moraliste, humaniste, homme de réflexion, d'action et de courage dont les Chroniques de l'Algérie amère sont bouleversantes... Connu pour ses romans couronnés de plusieurs prix et par ses remarquables prestations à la télévision française. Un auteur dont on n'a pas fini d'entendre parler... il fait honneur à son pays et à notre langue. Il faut le lire!"

Bombs, Bitter Chronicles, Algeria 1985-2002, Suzanne Ruta (translated by), New York, USA,  Fall 2005, N° 93

 

Le Soir d'Algérie, Hocine T., 26 décembre 2011: "L’écrivain «irrévérencieux» vient de publier, chez le même éditeur (Casbah éditions), un autre ouvrage consacré aux rendez-vous manqués : Chroniques de l’Algérie amère. Algérie 1985-2011 (472 pages, 850 DA). Cette édition revue et complétée d’un précédent livre rassemble des écrits journalistiques où le style net et tranchant comme un scalpel opère habilement sur un patient dénommé Algérie. Une mise à nu des fables, des mythes et des illusions qui empêchent l’épanouissement du peuple algérien et paralysent sa créativité... à lire absolument."

 

Al Qarra TV:  "Un Livre, un auteur",  Interview de Anouar Benmalek, auteur des Chroniques de l'Algérie amère, février 2013


 

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Ce jour viendra , roman, Ed Pauvert, septembre 2003, sélection Virgin-Lire

Le Monde, 22 août 2003: "... La course aux prix... Voici quelques auteurs qui pourraient prétendre à l'un des grands prix d'automne..."

Le Point, Bernard-Henri Lévy, 19/9/2003: ''Conte philosophique? Fable politique? Polar? Science-fiction? Détournement ironique des rêveries raéliennes postmodernes? Roman sur le fanatisme et ses carnages? Le livre d'Anouar Benmalek (Pauvert) , Ce jour viendra, est tout cela à la fois. Il nous parle, dans le même souffle, de l'Algérie des GIA et des effroyables perspectives offertes par la science du vivant. Et il y a dans ces cinq cent pages, il y a dans l'histoire de cet enfant témoin du meurtre de sa mère par un commando d'islamistes puis victime d'un accident qui lui détruit la moitié du cerveau, l'un des tons les plus étranges, les plus originaux de cette rentrée. Biophysique et métaphysique. Futurologie appliquée. La mort et son clone. "Ce jour viendra" -ou comment l'espèce humaine est en train de se détacher de l'humanité."

Le magazine Littéraire, Bernard Fauconnier, septembre 2003: " Ce Jour viendra est un roman fort dont on sort fortement sonné, comme d'une traversée mouvementée, après une lecture d'une intensité constante. Le livre refermé, on se demande si ce titre aux accents prophétiques résonne comme une menace, une mise en garde, une espérance... Ce jour viendra ose explorer la complexité du réel et animer des mondes, orient et occident, Afrique er Amérique; il propose de multiples questionnements, brasse des destins aux prises avec de grands enjeux contemporains, et déploie un récit construit comme une tragédie... Ce jour viendra nous parle de la passion, de la douleur du manque, de l'amour absolu d'un père pour son fils... [Benmalek] excelle dans l'évocation des sensations (érotiques notamment), de la violence du désir et des sentiments. Ses dialogues, gouailleurs, puissants, campent des personnages inoubliables. Son récit, chauffé à blanc, atteint à un degré de tension à la hauteur du propos... Peu d'auteurs, ces temps-ci, s'engagent avec une telle audace, une telle foi dans le romanesque et ses pouvoirs pour poser les questions qui font mal et défendre la part menacée de l'humain..."

Livres-Hebdo, Jean-Maurice de Montremy, 20/6/2002: "... De l'âge des cavernes à l'Amérique des biotechnologies, en passant par le terrorisme islamique, Anouar Benmalek tente un saut périlleux. Et le réussit avec un roman d'amour-passion... Ce jour viendra se lit d'abord comme une passion d'amour. L'amour de Driss pour sa femme Leïla -massacrée par les terroristes- et pour Mehdi, leur enfant bègue, sans doute surdoué. C'est aussi l'amour de Driss pour une Russe, perdue avec lui en Californie... Une réflexion audacieuse sur le genre humain... Reconnu en France après le succès rencontre par Les Amants Désunis (Calmann-Lévy, 1998), Anouar Benmalek confirme ainsi son originalité..."

L'Express, 21/08/2003: "Les menaces du clonage sont l'occasion pour Anouar Benmalek (Pauvert) de disséquer les travers de la société actuelle

Lire (supplément spécial rentrée littéraire), septembre 2003: "... L'humanité à tout prix..."

Le Parisien, Bérengère Adda, 4/11/2003: "... Linda Cassou, de la librairie Antipodes, à Enghien [...] recommande Ce jour viendra d'Anouar Benmalek (Ed. Pauvert). "Nous sommes fans de cet auteur, prof de maths dans la région parisienne, car il allie des thèmes brûlants d'actualité à une poésie dans l'écriture qui vient directement de la littérature arabe. Nous l'avons invité plusieurs fois et c'est vraiment une personne d'une incroyable humanité, à l'écoute des gens, qui voudrait que le monde aille mieux. Avec ce livre, il entrecroise le destin d'un homme qui a perdu sa femme dans un massacre et celui d'une jeune fille venue de l'Est, le tout sur fond de manipulation génétique..."

Jeune Afrique/L'Intelligent, Nicolas Michel, 21/9/2003: " Avec Ce jour viendra [...], Anouar Benmalek s'impose comme un écrivain au souffle puissant. Sans complexe, l'auteur des Amants Désunis et de l'Enfant du peuple ancien ose tout: le mélodrame, l'anticipation scientifique, l'érotisme, l'amour, la politique... Anouar Benmalek démontre que le romanesque peut encore se saisir de grands sujets... "

La Montagne Libre, 8/11/2003:  "... Habité par des personnages aux émotions déchirantes, tragiques, le livre entreprend, dans la tradition des grandes causes chères à Anouar Benmalek, un questionnement dont la portée universelle renvoie aux incertitudes de notre temps... Roman d'amour infini..."

Notes bibliographiques, ( UNCBPT), 12/11/2003: "...  On vibre à l'unisson des personnages complexes, denses et humains. Suspense palpitant. Impossible de s'en arracher avant la dernière page..."

Page, P.F., octobre 2003: "... La souffrance des peuples, la folie des hommes, le fanatisme et les errances idéologiques demeurent les principaux sujets de réflexion d'Anouar Benmalek, doué d'une stupéfiante puissance narrative... Rythme, puissance narrative, dialogues d'un réalisme sauvage, onirisme entrecoupé de scènes terrifiantes de violence, Ce jour viendra est aussi un chant d'amour à la vie..."

Le Dauphiné Libéré, 6/11/2003: "... Un auteur aussi modeste que brillant..."

Revue Topo, Hélène Boyldieu, novembre 2002: "Le couperet est tombé, les prix littéraires se sont affichés aux pages des journaux, les auteurs ont arboré leurs plus beaux sourires et au lendemain de ces festivités, mon âme de libraire est un peu triste! Pas de distinction pour Anouar Benmalek, de couronne pour son dernier roman Ce jour viendra (éditions Pauvert): quelle surprise! Ce roman est bouleversant. Il exalte, dérange parfois, serre le cœur et ne laisse aucun répit au lecteur. Un roman qui vit et donne à vivre. Un auteur qui s'engage comme à chacun de ses livres. "Ce jour viendra" où il sera lu de tous, je l'espère vraiment, topo! Au diable les paillettes, ces pages ont fait briller quelques unes de mes soirées et... mes yeux, et tant que certains auteurs créeront cette magie..."

Sucy-Info, juillet 2004: "... Ce jour viendra d'Anouar Benmalek, l'un des meilleurs romans de la rentrée littéraire!..."

Paris Normandie, Rémi Parent, 29/12/2003: "... Plaidoyer contre le clonage... Un roman d'amour, métaphysique..."

Actualités et culture berbères, Denise Brahimi, automne 2004/2005: "... Que le lecteur ne se laisse pas impressionner par le volume et le poids de ce très gros livre. On le lit passionnément, dans la hâte toujours renouvelée de connaître les nouvelles péripéties de l'aventure humaine -ou peut-être... ses nouvelles mutations... Les deux figures de femmes, Leïla et Lily (et l'on entend une sorte de rime entre ces deux prénoms) sont l'une et l'autre magnifiques, porteuses de feu et porteuses de vie. Driss est bouleversant par son sentiment constant de ne pas pouvoir faire face aux responsabilités rencontrées dans sa vie. Les personnages, en dehors de toute foi religieuse, sont incontestablement des âmes en peine, selon une belle et forte expression..."

El Watan, Rémi Yacine, 16/8/2004: "... Anouar Benmalek fait un voyage dans la douleur avec Ce jour viendra. Il est allé au bout de l'indicible avec des mots simples et justes... Ce jour viendra se lit douloureusement, délicieusement. D'une seule traite, sans reprendre haleine... Anouar Benmalek use d'un style concis, dangereusement juste et d'un tempo endiablé... Ses mots sont justes, fébriles et poignants... Un livre à lire à la plage, à la montagne, chez soi ou ailleurs. Mais à lire en urgence..."

La Médina, Ingrid Merckx, octobre 2003: "La destinée [...] d'un scientifique, Driss, prêt à trahir son espèce pour l'amour de son petit garçon tombé dans le coma..."

L'Armitière, librairie à Rouen (dépliant d'information), décembre 2002: "... Ce jour viendra [...] le livre auquel l'Armitière aurait décerné le Goncourt..."

Le Guide de la bonne lecture,  Christelle Divry, 4/01/2004 : "... Vaste entreprise que l'aventure racontée par Anouar Benmalek! Il était une fois l'Homo sapiens, au sud de l'Espagne, qui nous mènera, 80 milliards d'êtres humains plus tard, à Alger en février 2001. Driss est un homme comblé, amoureux fou d'une femme exceptionnelle et père d'un petit garçon aux facultés étonnantes malgré un bégaiement persistant! Mais le bonheur est-il possible sur terre quand on est conscient de tous les dangers qui vous guettent? Il suffira en effet d'un groupe d'intégristes pour que Driss perde la femme de sa vie et d'un accident de voiture en Californie pour que son fils se retrouve dans le coma avec de graves lésions au cerveau! Et là l'histoire ne fait que commencer : le roman historique, le roman d'amour devient un roman à suspens tout en nous livrant une réflexion sur Dieu, la fatalité, la science! À la mort de sa femme, Driss quitte Alger pour les U.S.A. et trouve un emploi d'informaticien dans une société de recherche sur l'ADN! Cette société va offrir de soigner le fils de Driss en testant un nouveau procédé de greffes de souche extraite du malade lui-même. L'auteur, mathématicien de formation, nous parle donc de clonage à travers l'histoire du fils mais sait aussi se montrer un excellent observateur de la nature humaine à travers le père qui ne sait plus s'il doit choisir la vie ou la mort, le passé ou le futur, le souvenir ou l'espoir! Anouar Benmalek a réussi en un peu plus de 400 pages à mener à bout un roman ambitieux! Laissez-vous tenter par cette histoire foisonnante! ..."

Canal Algérie, Afaf Belhouchet, janvier 2004: "... Un écrivain de talent... il enchaîne les succès... L'amour est constamment présent dans ses œuvres... Je vous le conseille vivement..."

La République du Glamour, 4/10/2007: "Quel lien y a t-il entre l’homme de Neandertal, un massacre en Kabylie et le clonage d’un enfant dans un laboratoire américain? Réponse: le génie d’Anouar Benmalek..."

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Ma planète me monte à la tête, poésie, Ed. Fayard, janvier 2005

Studio Théâtre de Charenton: Spectacle "Amour Poésie" autour des poèmes d'Anouar Benmalek et Pablo Neruda, le 24 mars 2007 à 20h30, mise en espace Sylvie Deschamps

Avantages, M.-F.S., mars 2005: "... À  dévorer... L'un des écrivains les plus doués de sa génération. Ses "historiettes à hue et à dia pour briser le cœur humain" tanguent comme la mélopée du conteur, se contractent à la japonaise en trois ou quatre vers, façon haïku. Des lettres en larmes, de colère en sensualité, de rythme en rime, la musique de la langue nous emporte. Un livre à placer à portée de main et de minutes perdues, et à grignoter sans modération pour emporter avec soi des bouffées de sens, qui se déploieront en vous pendant des heures."

Le Bulletin des Lettres, F.L., mai 2005: "... Il ya quelque chose de Prévert ou de Desnos dans ces pièces souvent courtes, tantôt graves, tantôt facétieuses, tantôt les deux, qui méritent bien leur sous-titre de Historiettes à hue et à dia pour briser le cœur humain... L'auteur joue continûment avec les mots... Mais si les mots semblent jouer entre eux, c'est souvent pour traiter avec une feinte désinvolture les sujets les plus sérieux, le malheur, le désespoir, et surtout la Mort, présente même au détour de phrases commencées dans la légèreté. Et c'est cela qui fait le charme de ce recueil: l'alliance entre sérieux et dérision, sans doute provoquée par l'amertume de la vie qu'exprime de la façon la plus appropriée le langage poétique..."

Notes bibliographiques, mars 2005: "... Écrivain brillant, Anouar Benmalek a usé de tous les genres pour conter l'histoire tragique du monde arabe... Il adopte une grande liberté de forme et de ton avec cet ensemble de petits textes courts, entre douze mots et douze pages -aphorismes, proverbes, fables, lettres, journal intime ou théâtre et même dessin- pour la plupart en vers libres. Chacun, réaliste, brutal, imagé ou sensuel, relate, comme un instantané, une histoire simple qui dit, avec dérision et concision, le malheur commun de l'homme et des bêtes sur la terre livrée à la guerre et au terrorisme, dans une nature ingrate. Pourtant, celle-ci est belle, des enfants naissent... et la chair féminine est douce. Les textes se succèdent en éclats de verre tranchants et colorés, cruels, sensuels, bouleversants. Hanté par la mort et la violence, l'amour et la beauté, c'est un hymne à la vie et à la nature, puissant et magnifique..."

Figures, février 2005: "... Un livre pétillant et subtil de poésie..."

Sucy-Info, juillet 2005: "... Avec son huitième ouvrage, l'écrivain Anouar Benmalek revient à ses premières amours, la poésie... "La poésie est intimement liée à ma vie d'écrivain et d'individu tout court. Elle est dans une certaine mesure une sorte d'autobiographie codée des moments importants pour moi" nous confie-t-il. La planète d'Anouar Benmalek, c'est sa quête d'une planète plus indulgente. C'est un cri contre la folie des hommes. Dans l'un de ses poèmes, "Les Chats en été" ce sont les souvenirs tragiques qui resurgissent d'une nuit d'état de siège, en juin 1991, où le bruit des chars fonçant vers Alger se faisait entendre jusque dans son lit. Dans une autre poésie "Un an" c'est la déclaration d'amour d'un père à sa fille Nejma à sa naissance: il y a tout le miel de la vie. Dans chacune de ces poésies, comme dans chacun de ses ouvrages, il y a à la fois l'homme blessé par "Toutes les saletés de la vie", mais aussi l'odeur de l'amour curieusement mêlée à des souvenirs de siestes chaudes au goût sucré d'oranges de Constantine qui réconcilie avec la vie. L'avantage avec un ouvrage de poésie, c'est qu'on peut le picorer et le déguster avec délectation, l'abandonner et le reprendre au gré de ses désirs. Impossible de ne pas emporter avec vous ce livre en vacances pour en découvrir tous les charmes."

Le Télégraphe, 28 et 29 novembre 2005: "Durant son séjour brestois, Anouar Benmalek a découvert la bannière illustrée par le calligraphe M. Idali à partir d'un court texte [Les cafards]...  "

Le Matin du Sahara (Maroc) , Ingrid Merckx, 7 janvier 2005: "...  Le but étant, semble-t-il, moins de produire du beau par les mots que d'utiliser les mots pour inciter à une prise de conscience..."

Canal Algérie, Afaf Belhouchet, 2005: "... Le bonheur de déguster cette poésie..."

L'Expression, O. Hind, 4 novembre 2007: "....Passion des mots..."

La Nouvelle République, Nadia Agsous, octobre 2007: "... Une langue concise. D’une étonnante simplicité. Mais au sens profond. Des phrases en suspens comme si leur auteur voulait laisser à chacun la liberté d’imaginer les ouvertures possibles... Ces textes ? Une pensée qui se déploie dans toute sa splendeur entre douceur et violence... Des idées bousculées. Des représentations déconstruites. Des réalités mises à nu. L’être humain révélé dans ses limites... La planète d’Anouar Benmalek dans tous ses états ! Dans tous ses éclats ! ..."

Algérie News, Saïd Khatibi,  21 avril 2008: "... [Le] poète Anouar Benmalek qui s'est brillamment affirmé, au début des années 80..."


Étoiles d'Encre - n°23, Dominique le Boucher, Octobre 2005 : "...  Dans mon pays/ les oranges sont citrons/ et les citrons sont oranges/ les labyrinthes sont simples/ et les fruits font beaucoup de bruit en naissant...  Commencer un édito avec quelques vers d'un poème d'Anouar Benmalek, intitulé Dans mon pays, peut paraître étrange à celles et ceux qui ne connaissent ni Anouar et sa capacité à écrire entre exils et demeures, puisqu'il nous surprend toujours aves les thèmes de ses romans, lui qui, né en Algérie prend pour espace de ses livres des territoires lointains et différents, ni le goût que nous avons dans Etoiles d'Encre pour les êtres et les paysages multiples et suscitant le voyage des mots à leur rencontre..."

 

 

 

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L'année de la putain, nouvelles, Ed. Fayard, janvier 2006; Ed. Sedia, juin 2006 (sous le titre Le poumon étoilé)

                                                                                                                            Noté par le site

Le Monde, Ph.-J.C., 17 mars 2006: "... Histoires de ruptures, d'abandon ou de trahison. En courts récits, qui assument le fait d'hésiter entre le roman et la nouvelle, se jouant, après une ouverture sur la Genèse, de la chronologie du XXe siècle comme de l'espace (Djakarta, le Liban ou le Nicaragua répondent au fil rouge algérien), Benmalek affronte des cas d'école douloureux... Si la quête du bonheur est un moteur fragile, l'échec même ne pèse guère: « La montagne ne se rendit compte de rien et continua d'être belle »..."

Brèves, Jean-Loup Martin, septembre 2006: "... Neuf nouvelles rudes, implacables, qui ne laissent pratiquement aucune place (ou si peu) à l’espoir, au bonheur... Avec une lucidité implacable, une ironie cinglante, qui n’excluent pas la compassion pour les victimes, l’auteur nous présente des êtres humains, nos semblables, dans toute leur horreur : lâcheté, trahison, cruauté, sadisme, mais aussi leur grandeur : le courage, l’amour, l’amitié... Ce livre, à la fois terrifiant et salutaire, à lire absolument..."

Edelwweiss (Lausanne), 1 juillet 2006: "Une écriture résolument orientale, des décors poussiéreux et lumineux et des personnages attachants habitent chacune des nouvelles d'Anouar Benmalek. Ces récits soulignent avec force et délicatesse la fatalité de l'enfance perdue, de la pauvreté, de la douleur, avec en filigrane, une critique acérée de la condition humaine. Une quête du bonheur irradie pourtant chacun des protagonistes, qui s'érigent en gardiens de questions lancinantes et universelles"

L'Intelligent- Jeune Afrique, Olivia Marsaud, juillet 2006: "...Neuf textes courts et denses traversés à la fois par la peine de vivre et la joie d'être au monde... Anouar Benmalek décrit la violence psychique, qui conduit à la lisière de la folie, mais aussi la violence physique...

Le Courrier de l'Ouest, Y. Dv, 6 février 2006: "... Question: Mais de la littérature, nous ne faisons pas le même usage... Réponse de A.B: La littérature apprend la diversité des expériences humaines, la diversité des mondes intérieurs de chacun. C'est pourquoi je considère qu'un amateur de romans ne peut être un fanatique. Le fanatisme est la non acceptation de l'imagination qui, pourtant, fait la grandeur de l'être humain..."

La Dépêche du Midi, 31 mai 2007: "... Bouleversant..."

Sucy-Info, juin 2006: "... Un recueil de neuf nouvelles qui raconte l'amour, la peine de vivre et l'envie passionnée d'être heureux malgré tout... Chacune pourrait faire l'objet d'un roman..."

Le Jeune Indépendant, N.B. 22 juin 2006: "... Écrivain de renommée internationale..."

El Watan, Zineb Merzouk, 21 juin 2006: "... Un auteur talentueux que l'Expresse avait surnommé le Faulkner méditerranéen... On pourrait passer des heures à l'écouter et à rapporter ses propos... D'emblée on est séduit par sa "philosophie" de la vie, par sa simplicité et sa sympathie... Faroudja, la plus terrible des nouvelles..."

Liberté, Nora Sari, 20 juin 2006: "... Interrogé sur Ève, la première nouvelle du recueil, le romancier explicitera ses choix, ses questionnements, son sentiment face au premier meurtre de l'histoire de l'Humanité:  Chaque grande religion monothéiste débute par un meurtre, dira-t-il, Comment Ève a-t-elle réagi à l'assassinat de son enfant en tant que femme et en tant que mère? Aucun texte n'a évoqué son chagrin..."

Le Soir D'Algérie, Sam H., 23 juin 2006: "... Anouar Benmalek, cet auteur qui plonge le coeur en avant à la recherche de ce sentiment d'espoir dans une mare d'espoir. Il a souvent été considéré par ses lecteurs et critiques comme un pessimiste. Cependant, aux mercredis du verbe organisés par l'établissement Art&Culture, il est apparu à son public comme une lueur d'espoir dans la l'univers sec de la littérature algérienne.

El Fajr, Dahbia Abdelkader, 24 juin 2006: " ... Anouar Benmalek a insisté sur le fait... que personne n'a le droit d'interdire les écrits d'un écrivain, quel qu'il soit, assurant que la diversité en Algérie ne peut être qu'une richesse..."

El Ahdath, Wassila B., 22 juin 2006: "... L'écrivain... revient sur des époques historiques cruciales pour donner une éclairage sur le présent..."

Le jour d'Algérie, Hacène K., 25 juin 2006: "... Anouar Benmalek s'élève par ailleurs [au cours de cette rencontre littéraire] contre la politique du livre pratiquée en Algérie: C'est une trahison que d'étouffer l'auteur algérien chez lui... Je ne saisis pas la politique d'un pays, prêt à subventionner une carte pour avoir droit aux images du Mondial du football alors qu'il se montre chiche sur les moyens à même de promouvoir le livre..."

El Fajr, D. Abdelkader, 27 juin 2006: "... Des personnages de cultures différentes se rencontrent dans la douleur et le chagrin..."

La Nouvelle république, Hassina A., 25 juin 2006: "... Aujourd'hui, c'est un auteur prestigieux qui fait le déplacement depuis la France pour venir rencontrer ses lecteurs... Discussions qui ont, bien évidemment tourné autour de cette ultime publication mais aussi des oeuvres maîtresses d'Anouar Benmalek et de sa vision "peptimiste" (dixit Émile Habibi) de la vie. En tant qu'écrivain, pour moi, c'est une blessure importante que mes livres ne soient pas lus en Algérie. On n'existe pas ici à cause de la censure financière. Les livres sont trop chers, dira-t-il d'emblée..."

L'Expression, O.H., 22 juin 2006: "... Écrire pour dire la véracité de l'imagination..."

La Dépêche de Kabylie, Fazila Boulahbal: "... Un hymne à l'amour... Romancier [au] parcours aussi riche qu'important..."

El Watan, Zineb Merzouki, 21 juin 2006: "... L'auteur des Amants désunis nous livre un recueil de petits romans et de nouvelles étonnamment brillantes, qui prend aux tripes et qui entremêle douleur et plaisir. Mais avec tant d'oublis, comment faire une rose? (Jules Supervielle), lit-on au début du livre, un peu comme pour annoncer la couleur... La langue d'Anouar Benmalek exprime la vie, ce qu'elle a de meilleur et de pire..."

La Tribune, A.L., 28 juin 2006: "...Si Dieu ou le Hasard n'avaient pas créé Anouar Benmalek, il aurait fallu l'inventer..."

L'Expression, I. Ghioua, 26 juin 2006: "... Anouar Benmalek à Constantine... Le retour 20 ans après... L'auteur cherche, dans son combat humaniste, la réconciliation avec l'œuvre littéraire..."

Info Soir, Louisa Kendil, 23 juillet 2006: "... Remarquable œuvre de fiction... Voyage aux confins des soubresauts de l’humanité dans sa folie meurtrière..."

El Chaab, Oussama Ifrah, 26 juin 2006: " ...Anouar Benmalek le confirme: Il n'y a pas de limites dans l'écriture..."

El Fadjr, Dahbia Abdelkader, 2 juillet 2006: "... Merveilleuse histoire d'Ève... "

Mercredis du Verbe, Lazhari Labter, 15 juin 2006: "... Neuf récits aussi poignants les uns que les autres... Écrivain iconoclaste... défenseur des droits de l’homme... redoutable questionneur... En créant Anouar Benmalek, Dieu, ou le Hasard, ne jouait probablement pas aux dès... "

Traduction en anglais de la nouvelle Ève, dans World Litterature Today (USA), janvier 2008, par Suzanne Ruta :

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Vivre pour écrire, Ed Sédia, février 2007                                                                                                         voir la couverture

El Watan, Zineb Merzouki, 15 février 2007: "... L'auteur des Amants désunis prend un certain plaisir à évoquer ses souvenirs, si particuliers et si singuliers ; à raconter ses grands moments en tête-à-tête avec ses écrits… Pour cet auteur capable de s'extasier face à un beau texte autant que face à une équation mathématique, le paradoxe serait de ne faire que de la littérature ou que des mathématiques… Et probablement que «l'équation» est plus flagrante qu'on ne le croit : il court après le livre qu'il n'a pas encore écrit, et les «probabilités» pour qu'il le fasse sont nombreuses ! ..."

La Nouvelle République, Lamia S., 25 février 2007: "... Comme un voyage dans le monde et l’imaginaire d’un écrivain ne ressemble à aucun autre voyage, celui de Vivre pour écrire est une expérience unique... Résultat collatéral d’un passage à Alger, où Anouar Benmalek était venu présenter Le poumon étoilé, Vivre pour écrire est un cocktail d’analyse logique et de poésie..."

 Izuran Racines, Remdan Ebdenbi, 5 au 18 mars 2007: "...Hymne à la vie... Dans sa quête du « Grand Livre »,  nous souhaitons à Anouar Benmalek de continuer à chercher inlassablement « les réponses… », ouvrage après ouvrage, à son « interrogation perpétuelle » et cela le plus longtemps possible  ; car sinon, s'il s'arrêtait, cela serait bien dommage pour nous autres lecteurs..."

L'Expression, O. Hind, 12 avril 2007: "...L'auteur de la vérité incisive... un écrivain majeur... Vivre pour écrire est à lire absolument!..."

Passerelle, Djamel Anis, Juin 2007:  "...(Question au poète Youcef Merahi:) Vous avez eu le premier entretien avec Anouar Benmalek, comment le trouvez-vous? (Réponse de Merahi:) Je l'ai perçu comme un homme éminemment aimable, très affable, très cordial. J'ai trouvé en Anouar Benmalek quelqu'un de très curieux intellectuellement... Pour son dernier livre Ô Maria, qui retrace un peu l'histoire des musulmans d'Espagne, il a consacré deux années rien que pour la recherche et la documentation. Anouar Benmalek n'est pas seulement un romancier, c'est aussi quelqu'un qui nous fait découvrir quelques pages de l'histoire de l'humanité..."

La Nouvelle République, 26 juin 2007: Anouar Benmalek, un écrivain de l'exil..."

Algérie Littérature Action, Dominique Le Boucher, n° 121 et 122, mai-juin 2008: "... Si l’écriture romanesque a rapidement pris dans son travail de création la première place, avec ses  personnages dont l’intensité de l’implication dans l’histoire du monde et la violence passionnée des  sentiments ne font aucun doute, le style toujours poétique de ses récits évoque ce savoir-faire auquel  on reconnaît les écrivains emportés par le sortilège des mots bien au-delà de la narration...Le poète a le visage tourné vers tous les horizons du monde… C’est un voyageur cosmique éperdument  curieux et ouvert, généreux de son temps et de ses rêves, multipliant les expériences et nourrissant  son imaginaire de toutes les aventures humaines..."

Radio Orient, Djilali Benchikh, 31 mai 2009 : "... Indéniable aura... Un homme de principe... Esprit critique contre la pensée dominante... Homme droit, qui réincarne l'intransigeance sourcilleuse des hommes libres... Un homme d'engagement, un écrivain à l'imaginaire débridé..."

 

 

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Ô María, roman, Ed. Fayard, septembre 2006; Ed Le Grand Livre du Mois, 2006 ; Ed France Loisirs, 2007; Ed. Livre de Poche, août 2008

     

                                                                                                      annonce dans le journal (29 août 2006)                                                                                                                                                                                                

La Provence, Edmonde Charles-Roux, présidente du jury Goncourt, 1 janvier 2007: "... Un beau roman... il faut se hâter et plonger dans l'histoire de Maria... Le langage est cru, précis, imagé... Un livre inspiré..."

TF1, Vol de nuit, Patrick Poivre d'Arvor: "... Une très belle originalité..."

Associated Press, août 2006: "... Un très grand roman qui, selon les mots de l'auteur, montre « ce qui aurait pu être, et que la terrible soif de pureté n'a pas permis »..."

Le Magazine Littéraire, Bernard Fauconnier, octobre 2006: "... Un roman d'une force peu commune. On connaissait le talent de conteur d'Anouar Benmalek dont l'un des précédents ouvrages, Ce jour viendra, déployait les ressources d'un imaginaire romanesque exceptionnel. Ô Maria confirme largement cette richesse de langue, d'images, d'invention dramatique, notamment dans le recours à  la tradition picaresque espagnole, Maria étant comme la petite soeur tragique de Lazarillo de Tormes. Mais c'est surtout la langue qui séduit : d'une crudité évitant l'obscène, riche de couleurs et d'images déployant un baroquisme sans pesanteur, émaillé de dialogues savoureux, le style vigoureux du conteur nous rend d'autant plus émouvant son message syncrétique et universel..."

L'Echo de la Haute-Vienne, 19/8/2006: "... Une déchirante histoire d'amour et de liberté, à la veille de la grande déportation des morisques...

La Dépêche du Midi,  Maia Alonso, 16 décembre 2007,: "... Anouar Benmalek, somptueux auteur de romans à la plume  baroque, exigeante, crue, violente, éprouvante, colorée, sonore, imagée qui vous tenaille, vous déchire et vous envoûte. S'embarquer dans un des ses livres, c'est s'y livrer jusqu'au bout et même après la dernière page tournée, continuer à en subir le charme au sens magique du mot...."

Le Républicain lorrain, Gaston-Paul Effa, 10 septembre 2006: "... L'une des grandes plumes algériennes d'aujourd'hui. Son dernier roman, Ô Maria, chez Fayard, renouvelle le roman historique... Une déchirante histoire de passion et de liberté... Une écriture saisissante faite de limpidité et de grâce... Fresque haletante qui ne laisse son lecteur en répit qu'à la dernière ligne où cette violence proprement faulknérienne fait enfin un peu de place à la sérénité... Pétrie d'un véritable réalisme poétique, l'écriture d'Anouar Benmalek dessine un visage neuf au monde... Un chant d'espoir et de sagesse pour une époque difficile..."

L'Est Républicain, Michel Vagner, 19 septembre 2006: "... Dans son passionnant roman, il dévoile  un fait historique totalement méconnu: la déportation organisée par l'Espagne de ses musulmans... Parler d'hier pour évoquer aujourd'hui. Son roman résonne de manière très actuelle..."

Nuit Blanche, hiver 2006: "... L'histoire d'Ô Maria commence un jour malheureux de l'année 1610 au cours duquel une femme fut brûlée vive sous les yeux de son fils. C'est le destin de cette non chrétienne d'Espagne, figure emblématique de toute une communauté massacrée, qu'évoque l'émouvant roman d'Anouar Benmalek..."

Radio Orient, Au fil des pages, Djillali Bencheikh, 9 novembre 2006: "... C’est dans un monde aussi réjouissant et, pour tout dire, infernal que nous entraîne Anouar Benmalek dans une épopée d’un nouveau genre où le souffle historique sert de moteur à un splendide et bouleversant destin de femme... Épisodes dantesques et picaresques... Une épopées féminine signée du Faulkner méditerranéen Anouar Benmalek..."

Astropoche, septembre 2006: "... Ce récit picaresque aux mille et un rebondissements, coloré, tantôt drôle, tantôt pathétique, réunit les qualités d'une grande saga..."

L'Intelligent-Jeune Afrique, Dominique Mataillet, 10 juillet 2006: "... Anouar Benmalek, lui, remonte le passé dans Ô Maria..."

El Watan, Zineb Merzouki, 26 octobre 2006: "... Plongée dans les soubassements historiques de Ô Maria qui décrit la répression féroce, à partir de 1492, contre les musulmans d'Andalousie et la déportation des survivants, l'une des premières de l'humanité menée de façon aussi massive, méthodique et implacable..."

Le Soir d'Algérie, Yanis Younsi, 7 octobre 2006: "... Anouar Benmalek... revient et avec force. Avec son tout dernier roman, intitulé Ô Maria, l’auteur rouvre une blessure restée, et pour longtemps, une tache noire dans la mémoire des musulmans, notamment ceux d’Andalousie. Il s’agit de...  la déportation des musulmans..."

Correspondances internationales, Christiane Chaulet-Achour, janvier 2007: "... Magnifique roman... Échappant aux pièges du roman historique en sachant équilibrer, avec virtuosité, informations historiques et mise en narration romanesque, Anouar Benmalek offre un récit fort et violent d’un destin de femme... Un roman qui jamais ne nous laisse en repos..."

Valéry Giscard d'Estaing, de l'Académie française, juin 2006: "... Ce très beau roman qui nous fait revivre l'Espagne du Siècle d'or..."

Brèves CRTF, Université de Cergy-Pontoise, Séminaire le Secret , février 2007 : " Très belle rencontre avec le romancier Anouar Benmalek... Autour de son oeuvre, mais plus particulièrement Ô Maria... Un grand écrivain...  une sorte d'Averroès de notre temps, pour qui vivre (et écrire, indissociablement) semble bien  une expérience de légèreté, de détachement et d'exploration sans cesse recommencée de la nature humaine et des lois qui régissent l'univers. Il me plaît de penser que le Maghreb puisse "produire" des hommes libres tels que lui..."

Historia, Georgette Elgey, janvier 2007: "...Dans... Ô Maria... Anouar Benmalek a mentionné les atrocités commises de part et d'autre en Espagne à la fin du XVe siècle..."

Beur FM, Philippe Robichon, septembre 2006: " Dialogues... croustillants... Les Morts qui s'expriment et observent les Vivants..."

Corse-Matin, Edmonde Charles-Roux, de l'Académie Goncourt, 19 janvier 2007: "... Anouar Benmalek est loin d'être un inconnu... publié par de grandes maisons  d'édition et ses oeuvres  ont été souvent sur les listes de sélection des prix littéraires... Je viens de lire Ô Maria... l'histoire d'une femme à la destinée tragique, prise dans les remous de l'expulsion des Morisques de Castille, décrétée par Philippe II d'Espagne en 1609, esclave, violée, mariée, mère désespérée, traitée de catin, et brûlée à Séville en un temps de haine inexpiable entre chrétiens et musulmans. Maria est victime d'une époque de folies et d'horreur dictées par l'Inquisition... Le langage est cru, précis, imagé... Le lecteur retiendra le tragique destin d'une femme double, parce que Morisque, une femme foncièrement libre, et qui eut contre elle d'être «trop belle»..."

RCF (réseau de radios), Élise Fisher, septembre 2006: "... Magnifique ..."

Le Soir d'Algérie, Ahmed Halli, 25 septembre 2006 : "... Talent indéniable... Il faut porter sinon répandre la parole des intellectuels qui professent un point de vue minoritaire au sein de leur société..."

Liberté, Mustapha Hammouche, 13 octobre 2006: " Aucun motif ne peut excuser la participation d’une profession [celle des journalistes] ... à la traque de la pensée..."

Canal Algérie, Afaf Belhouchet, février 2007 : "... Livre passionnant qui nous apprend beaucoup sur nous-mêmes... On le conseille à tous les lecteurs..."

Cahiers du centre de recherche Textes et Francophonies, Université de Cergy-Pontoise, janvier février 2007, numéro consacré à Anouar Benmalek: "... Capital, dérangeant, cinglant..."

Agora Vox, Akram Belkaïd (La Tribune, Paris), 9 mars 2007 : "... Fiction magistrale... Ô Maria n’est pas simplement un roman sur le sort tragique des Morisques. Il est une vision inattendue de la femme. Il est rare en effet qu’un homme décrive de manière aussi abrupte le désir féminin... C’est l’une des forces de ce roman qui vous prend à la gorge et vous fait chanceler... Une fois refermé, ce roman continue de hanter son lecteur, un peu à l’image des spectres qui y sont décrits dans une étrange et inattendue représentation de la mort, ou du moins, de l’au-delà... Roman après roman, Anouar Benmalek creuse son propre sillon... Anouar Benmalek est un écrivain talentueux, et le dire aussi simplement suffit largement..."

L'Expression, Hakim KATEB, 24 septembre 2006: " Le dernier roman, Ô Maria, de l’écrivain algérien Anouar Benmalek... suscite des remous... Campagne médiatique, on ne peut plus dangereuse, orchestrée contre Anouar Benmalek... Accusations qui, plus est, le visent en tant que personne avant de s’attaquer à lui en tant qu’écrivain... "

Valeurs mutualistes, décembre 2006: "... Un grand roman... Anouar Benmalek est considéré comme l'un des écrivains essentiels... Son talent ne se dément pas dans son dernier roman... "

Le Soir d'Algérie, Mohamed Benchicou, 29 mars 2007: "... Comment sortir de la nuit sans forcer les portes qui verrouillent les vieux tunnels noirs de nos peuples ? C'est le cri de Anouar Benmalek dans Ô Maria, cri étouffé par toutes sortes de vigiles qui veillent, dans mon pays [l'Algérie], sur les portes sacrées du mensonge, de l'hypocrisie, de l'ignorance, de l'aliénation et de la servitude... C'est pourquoi, me suis-je dit en quittant Anouar Benmalek, les dictatures auront toujours peur d'un livre. C'est-à-dire d'une déraisonnable petite lumière qui viendrait à s'aventurer dans les opacités du pouvoir et que nous avons, à jamais, l'obligation d'agiter au coeur des ténèbres..."

Algérie Littérature Action, mars avril 2007 (dossier sur Anouar Benmalek): "  Un auteur algérien majeur... une déchirante histoire d'amour dans ce roman remarquable [sur Ô Maria] ... Chez Benmalek, ce qui choque est aussi ce qui transcende..."

Berbère TV, A. Larbi-Chérif, émission Points de vue, avril 2007: "... Je vous le recommande ..."

Bookforum, (New York), Suzanne Ruta,  Février/Mars 2007 (vol. 13, issue 5): "... His last novel, the picaresque, sprawling Ô Maria is about the loss of Andalusia, which for Benmalek is less a place than a concept, that of religious tolerance..."

Le Boudoir des Livres, 2 septembre 2007: "... Ce roman est flamboyant de noirceur, un livre inoubliable.  Ma note 10/10 ..."

Forum ÉcriVosges, Martine Marck, 26 octobre 2006 : "...Anouar Benmalek, c'est un grand un très grand mais âmes sensible s'abstenir car  qu'il a à dire n'est pas toujours facile à entendre mais ça vaut le voyage... "

La Nouvelle République, Nadia Agsous, 20 et 21 mai 2007: "... Ses personnages ? Des êtres humains ordinaires aux histoires de vie marquées par les blessures de la vie, en quête d’amour et de bonheur. Son œuvre ? Un Livre ouvert qui met en évidence une parole inspirée et qui inspire ; une écriture qui vous touche par l’élégance de son verbe et vous transcende par son amour pour la Liberté et son désir d’Humanité. Tout simplement... Cette parole qui dit, témoigne et marque son empreinte dans l’histoire de la littérature algérienne et universelle..."

El Watan, Rémy Yacine, 28 août 2007: "... L'auteur de l'Amour Loup et d'Ô Maria a su très vite trouver sa place dans la littérature. Inclassable, Anouar Benmalek est un écrivain majeur... un auteur majuscule qui se "livre"..."

Alger Chaine Trois, Karim Amiti, 16 octobre 2007: "... Le grand auteur algérien... on ne [le] présente plus... Je savoure et déguste [ses] livres..."

Alger Chaîne Trois, Youcef Sayeh, 4 novembre 2007: "... Sommité de la littérature algérienne... Quel honneur, quel bonheur... je suis avec Anouar Benmalek..."

La Dépêche du Midi,  Maia Alonso, 22 novembre 2007  :  "... Son envergure déployée au fil de ses romans dépasse les frontières... L’exigence d’Anouar Benmalek le hausse au sacré...  Cet homme parle de l’amour comme personne, dépeint les hommes avec un tel réalisme qu’il est impossible de ne pas se retrouver dans ses personnages pourtant extrêmes mais si touchants, inventés mais nourris de tant d’humanité!..."

Canal Algérie, Youcef Sayeh, 6 novembre 2007: "... Géant de la littérature algérienne..."

El Watan, A. Merad, 26 avril 2008: " Écrivain à succès...  Voix qui porte[...]... Esprit libre et complètement autonome des contingences extra-littéraires..."

Djazaïr News (supplément El Athar), Saïd Khatibi, 6 mai 2008: "... Un des noms littéraires les plus importants dans l'espace francophone contemporain..."

Canal Algérie, Yasmina Khadra, 6 novembre 2007 : "... Ô Maria est un travail fantastique... Il m'a instruit, il a élargi ma façon de voir les choses... On n'a qu'à se régaler..."

Le Temps, Kheira Attouche, 28 août 2008:  "... Ô Maria d’Anouar Benmalek a suscité un tollé général et une levée de boucliers à son encontre dans la presse arabophone lors de sa sortie... Ce pavé de 468 pages se lit d’un trait tant l’histoire de Maria est passionnante... Roman percutant et sensible... A lire absolument...

El Watan, Rémi Yacine, 12 août 2008: "... L’écrivain algérien le plus talentueux déroute aussi bien ses lecteurs que ses critiques. Qualifié de « Faulkner méditerranée » en France, honni par une certaine presse de son pays qui avait appelé au boycott de son dernier livre Ô Maria, Anouar Benmalek atteint l’universalité dès ses premières œuvres..."

Fabula, Zineb Ali-Benali (Université Paris 8), 27 octobre: "Ouverture du XIIIème SILA (Salon International du Livre d'Alger) : des auteurs et des livres sont censurés... L'autre roman interdit de facto est Ô Maria, d'Anouar Benmalek, qui n'a pas pu être imprimé en Algérie. Les ouvriers imprimeurs ont refusé de réaliser un livre "obscène" !..."

El Massa, Latifa Darib, 27 octobre 2008: "... Défenseur des oubliés... l'Algérie toujours présente..."

L'or des livres, 10 mars 2009:  "... Plein d'imagination et de démesure, balayé par un souffle épique... Un style tragique et violent au parfum de scandale..."

Passerelles, Rachid Mokhtari, octobre 2008: "... Le lecteur sort du roman avec une certitude: l'Inquisition n'est pas morte... Est-ce la raison pour laquelle ce fabuleux roman a suscité de vives polémiques, voire des attaques contre la personne de l'auteur accusé d'avoir écrit un pamphlet proche de celui de Salman Rushdie. Pourtant, ce livre écrit de main de maitre est l'un des rares à s'intéresser à une page sombre de l'Andalousie musulmane..."

Le Temps, Kheira Attouche, 24 septembre 2008: "... Dans ce sublime et douloureux roman, l'auteur libère une histoire sombre et sensible comme une lithographie aux couleurs de la vérité retrouvée..."

 La Presse (Tunis), 26 Janvier 2009: "... Très émouvant[]...  puissant côté subversif... intense charge émotionnelle..."

Interfrancophonies, n°3, 2010, Salah Ameziane: "... A travers le personnage de Maria-Aïcha, l'auteur explore la figure du morisque et en fait un motif de narration et de réflexion sur la fabrique de l'étrangeté. Il offre ainsi une figure allégorique en écho aux drames du XXème siècle..."

 

 

 

                                                                                                  

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Le Rapt, roman, Ed. Fayard, septembre 2009                  

                                                                                                   Sélection Prix France Télévision 2009

                                                                                                                            Un des coups de coeur de la rentrée littéraire 2009 de la Maison de la Presse

Anouar Benmalek parmi: "ILS ONT MARQUÉ L'ANNÉE 2009 EN FRANCE"

Anouar Benmalek parmi "LES DIX PERSONNALITÉS QUI ONT MARQUÉ 2009"

 

 

 

El Watan, Rémi Yacine, 27 juillet 2009: "Anouar Benmalek  signe un chef-d’œuvre... Il y a du Dostoïevski chez l’auteur du Rapt, l’humour en plus.  La dernière œuvre d’Anouar Benmalek est d’une rare puissance. On y pénètre hilare, on y reste le cœur serré, stressé, et on en sort complètement retourné... Le Rapt est un livre majeur, d’une rare puissance dramatique. A lire d’urgence... "

El Khabar, Saïd Khatibi, 24 juin 2009: "... Un de plus importants romanciers en France..."

El Chourouk, 16 juillet 2009 : "Son œuvre [Le Rapt] provoquera un choc médiatique important... "

Métro, 4 aout 2009: "... Anouar Benmalek ("Le rapt", Fayard)... [devrait] aussi apporter souffle, densité et singularité à cette rentrée..."

Chroniques de la rentrée.littéraire.com: "... On entre dans ce roman par la porte de l’ironie... pour en ressortir retourné par un dénouement dramatique... Anouar Benmalek nous emporte dans son univers : l’Algérie et nous conte cette histoire présente imbriqué dans le passé, cette démarche qui fait son style ; et des personnages constamment tourmentés, marqués à vie par des blessures dont on ne guérit jamais..."

Alapage, août 2009: "... histoire d'amour déchirante et sombre fresque de l'Algérie contemporaine et de sa violence - celle des terroristes, celle de l'Etat et celle de la société musulmane en général... image poignante d'une tentative de rédemption... Thriller haletant, roman politique et psychologique, Le Rapt n'épargne personne

Alain Mabanckou, août 2009, prix Renaudot : "Parmi les grands livres de cette rentrée littéraire en France... Le livre est un pavé de plus de cinq cent pages. Et jamais un pavé ne se lit aussi vite !... Benmalek a écrit le grand roman de l’Algérie contemporaine... (décembre 2009) Je ne désespère pas que la France comprendra un jour que cet écrivain algérien bâtit une œuvre indépendante, foisonnante et pleine d’humanisme. C’est un livre que je ne quitte plus depuis quelques mois. Faites l’expérience, vous me donnerez raison…"

Le Magazine littéraire, Bernard Fauconnier, sept 2009: "... Anouar Benmalek, dont on avait fort goûté les précédents romans, se lance ici dans le thriller mémoriel. Les passages consacrés à la torture sont hallucinants d'effroi; l'étrange amitié qui se noue entre deux ennemis, tour à tour maris de la même femme après s'être mutuellement torturés, plonge au plus profond des complexités humaines... Puissance.."

Libération, E.L., 3 septembre 2009: "... Plein de façons malotrues de penser... Plaie vivante..."

Le Courrier de l'Atlas, A. Sahali, septembre 2009: "... Un livre somme, prodigieux dans sa construction dramatique, où surgit à chaque instant la sensation que l'auteur et, à travers lui, tout un peuple, se sont fait déposséder de quelque chose... humour glacé..."

Liberté Dimanche (Normandie), 6 septembre 2009 : "Le Rapt ("Top 10 des livres à dévorer" de la librairie L'Armitière): Sur fond de rebondissements intenses et d'émotions terribles, Anouar Benmalek relance son sujet favori: la question algérienne, et ici, la guerre d'Algérie..."

L'Anacoluthe, Yahia Belaskri, octobre 2009: "... Cinglant... Le Rapt est un roman important, un jalon dans la nécessaire récupération de la mémoire... Sans concession... Humour grinçant... à lire absolument..."

Le quotidien du médecin, 29 septembre 2009: "... Évoque les crimes impunis qui déchirent la société algérienne..."

Radio Orient, Djilali Benchikh, 17 septembre 2009: "... Un écrivain en pleine maturité... Un passé qui éclabousse le présent... Un roman époustouflant..."

Jeune Afrique, Olivia Marsaud, septembre 2009: " Humour grinçant... Le Rapt, un roman intense... déjà qualifié de chef-d'oeuvre, risque de faire du bruit... Anouar Benmalek porte la plume dans la plaie..."

L'Expression, O. Hind, 26 septembre 2009: "... Anouar Benmalek avec son puissant livre Le Rapt qui fera sans doute du bruit..."

RCF, Élise Fisher, 28 septembre 2009: "... Un livre que les lecteurs ne sont pas prêts d'oublier... Un courage extraordinaire... Jamais Anouar Benmalek ne sera un écrivain tiède, son dire est rageur... Un grand amoureux..."

Afrique Magazine, O.M, Octobre 2009: "...Un roman bouleversant d'amour et de vengeance...

Alger chaîne 3, 28 septembre 2009: "... Un merveilleux thriller, un très beau roman..."

Ouest-France, Hervé Bertho, 20 septembre 2009: "... Infernal engrenage de la folie... Aux horreurs de l'histoire, le présent répond encore par l'horreur... Et nulle confession n'apaisera l'appel du sang..."

Le Figaro, Blaise de Chabalier, 17 septembre 2009: "... Le Rapt, un roman très dur, qu'il [A.B.] veut voir malgré tout comme un livre de réconciliation..."

Le Figaro, Astrid de Larminat, 17 septembre 2009: "Un compte à rebours insoutenable... Benmalek jette une lumière cruelle sur les horreurs dont l'être humain s'est rendu coupable en Algérie... En vrai romancier, Anouar Benmalek est impitoyable dans sa relation des faits, mais plein de compassion envers ses personnages..."

France Info, Philippe Vallet, 1 octobre 2009: "...Brutal et époustouflant..." :logo Info

France 2, Claude Sérillon (dans Vivement Dimanche Prochain de Michel Drucker), 4 octobre 2009: "Un grand livre, un grand auteur.... Un roman formidable sur l'amour... On reste abasourdi par la qualité de l'écrivain..."

 

France 2, Télématin, France 2, 20 octobre 2009: "... Coup de coeur... Un livre vraiment magnifique, avec une belle tension et, surtout, beaucoup d'humour..."

 

 

France Deux, "Dans quelle étagère", Monique Atlan, 11 novembre 2009: " Ce n'est pas un énième livre sur la guerre d'Algérie, c'est un livre qui questionne la violence, la culpabilité, la honte, le mensonge, le sang sur les mains..."

 

 

Le Figaro Littéraire, A. L, 15 octobre 2009: "... Le Rapt... est une charge contre le régime instauré par le FLN... Menacé de mort par un groupe terroriste à cause de son précédent roman... et, refusant d'admettre que la violence ait le dernier mot, Anouar Benmalek a rédigé son livre le plus virulent..."

Zigzag, Arnaud Galy, 20 octobre 2009: "...L’écriture d’Anouar Benmalek prend le lecteur à la gorge. Comme une main invisible ne desserre son étau qu’aux derniers mots... aux derniers maux.... Un roman haletant comme un efficace polar et asphyxiant comme l’est l’histoire des peuples... si souvent..."

Le Courrier d'Algérie, M.C Zirem, 22 octobre 2009:  "Le Rapt est un chef- d'œuvre. Les milieux littéraires algériens et français ne cessent de parler de ce livre pas comme les autres... Anouar Benmalek vient de publier un roman d'une rare beauté..."

El Watan, K. Smaïl, 1 novembre 2009: " Un nouveau roman d'une force et d'un souffle époustouflants"

Liberté, Sara Kharfi, 1 novembre 2009: "...Anouar Benmalek dresse le tableau d'une Algérie à qui il reste des pages blanches dans son histoire..."

Le Soir, Nassira Belloula, 1 novembre 2009: "... Anouar Benmalek est fou, fou et génial, c'est hallucinant..."

El Chourouk, Zahia Manser, 1 novembre 2009: "... Le résultat de certains tabous historiques..."

Djazair News, 1 novembre 2009: " Son écriture provoque beaucoup de remous car il s'attaque à des sujets sensibles et aux tabous sociaux et politiques"

La Tribune, Sihem Ammour, 2 novembre 2009: "Plaidoirie pour une liberté d'écriture sur les sujets sensibles"

El Watan, Faycal Métaoui, 3 novembre 2009:  "L’auteur du roman Le Rapt,paru chez Sédia, vient d’appeler à juger les commanditaires du massacre de Melouza..."

Mediapart, E.C, 2 Novembre 2009:  "... Ce livre revêt, à mon sens, une importance spécifique et capitale pour l'Algérie où, fait remarquable, il est publié..."

La Revue pour l'intelligence du monde, Renaud de Rochebrune, décembre 2009 janvier 2010: "... Un remarquable roman... loué par la critique, bien reçu par le public... Jamais ces questions n'avaient été abordées aussi frontalement... Grand talent..."

El Watan, R.Y, 21 décembre 2009 dans la rubrique Ils ont marqué l'année 2009 en France: "Le Rapt, un kidnapping réussi... Les grandes lâchetés et les petits compromis, comme des plaies jamais cicatrisées, sont de nouveau ouvertes par un chirurgien ivre d’une Algérie prise en otage par les barbus, même ceux au visage glabre."

La Fenêtre, n° 4, décembre 2009-février 2010:  "(Salon international d'Alger) Un franc succès...  Anouar Benmalek dont 400 exemplaires de son Rapt se sont arrachés en l’espace de deux signatures... Un des romans les plus forts qu’il ait eu à écrire jusqu’à ce jour... Il prend le lecteur à témoin et à la gorge au point que ce dernier ne peut se détacher de la lecture, tenu en haleine jusqu’à la phrase finale..."

Le Soir d'Algérie, S.L, 23 décembre 2009: "...Suspense, sueurs froides et montée d'adrénaline : tous les ingrédients d’un excellent thriller sont réunis dans le dernier roman d’Anouar Benmalek. L’humour n’est pas en reste. A lire au plus vite, si ce n’est déjà fait..."

Liberté, 2 janvier 2010: "Un livre troublant qui tient en haleine et qui donne matière à réfléchir sur le présent et sur le passé très proche, mais aussi sur un pays à l’histoire millénaire hanté par les fantômes du passé.

Les Lettres Françaises, Jean-Pierre Han, 9 janvier 2010: "...Une impitoyable ampleur romanesque... De la première à la cinq centième page, il enveloppe le lecteur, le bringuebale à travers temps et espaces pour le laisser groggy, l'estomac encore noué... La démonstration d'Anouar Benmalek menée tambour battant est imparable, d'autant qu'elle est assénée dans un style d'une grande maîtrise..."

La Provence, Edmonde Charles-Roux, de l'Académie Goncourt, 20 décembre 2009: "On a fait appel, et à juste titre, aux grands mots, pour parler du plus récent roman d'Anouar Benmalek... On a qualifié de chef-d'oeuvre cet appel pour que cesse la violence... Anouar Benmalek signe un thriller vibrant... Un thriller de la vengeance... Un thriller aussi de l'amour..."

Radio Kalima, B. Mediene, 21 février 2010: "... Le Rapt est un roman exceptionnel qui fera date et l'auteur, Anouar Benmalek, entre de plain-pied dans l'histoire de la littérature universelle..."

Marianne, Martine Gozlan, 17 avril 2010: "... Tout refait surface depuis quelques mois. L'écrivain Anouar Benmalek consacre son dernier roman, Le Rapt, au massacre en 1957 par le FLN des villageois de Melouza qui avaient eu le tort de rester fidèles à Messali Hadj, le père longtemps contesté du nationalisme algérien..."

El Watan, Mélanie Matarese, 7 mai 2010: "...L’an dernier, Anouar Benmalek dans Le Rapt, avait suscité la colère de l’Organisation nationale des moudjahidine en décrivant avec précision un événement tabou : les massacres commis à Melouza par le FLN contre des membres du MNA..."

French Review (USA), Alek Baylee Toumi, novembre 2011: "... Souvent comparé à Faulkner ou encore à Dostoïevski, Benmalek nous entraîne à travers maintes histoires cachées, celles des bavures et autres génocides emmurés dans les oubliettes de l'histoire. Avec beaucoup d'imagination, d'humour et de suspense, ce superbe Crimes et Châtiments de plus de 500 pages accroche rapidement le lecteur qui le lit d'une traite."

 

 

 

 

 

Interviews

El Watan, 15 août 2009: « Le devoir de mémoire envers les victimes de Melouza, une exigence »

La Fenêtre, Septembre 2009 : « En Algérie, nous avons refusé reconnaître le caractère absolument impardonnable de Melouza, alors nous avons eu les "enfants" naturels de Melouza : Bentalha, Raïs et Ramka »

Le Figaro, 17 septembre 2009 : « Nous aussi, nous avons nos Aussaresses. »

Alger Chaîne 3, 28 septembre 2009: "... Il y a de grandes pages dans l'histoire de l'Algérie, et des pages sombres. Il est temps d'assumer les unes et les autres. Or, en Algérie, on mêle les héros et les criminels de guerre..."

:logo InfoFrance Info, 1 octobre 2009

 

Hachette Livre, août 2009


 

 

Berbère TV, 2 octobre 2009, en français (avec une présentation de quelques secondes en français)


 

 

Corrèze Télévision, Salon de Brives la Gaillarde, 8 novembre 2009


 


Canal Algérie, 2 novembre 2009



 

France 2, émission "Dans quelle étagère" de Monique Atlan, 11 novembre 2009

 

El Watan, 1 novembre 2009: "L’Algérie ne peut pas échapper à l’examen de la vérité quelle qu’elle soit."

Liberté, 1 novembre 2009: "Il  y a eu des Algériens en butte à l'armée française et il y a eu des Algériens en butte à d'autre Algériens."

Le Soir, 1 novembre 2009: "Toute notre histoire officielle est jalonnée de ces appels à «oublier», parfois rendus «obligatoires» par la loi, au nom des amnisties que l’on ne cesse d’opposer au travail cautérisant et maturateur de la mémoire."

El Chourouk, 1 novembre 2009: "Il est temps de mettre en accusation les commanditaires de la boucherie de Melouza."

Algérie News, 1 novembre 2009:  "On peut continuer comme depuis 1962 à ne faire entendre que les vainqueurs et à faire de la violence le seul moyen de légitimation et la seule valeur qui vaille la peine d’être considérée. Mais ce n'est pas une façon responsable d'aborder notre histoire et ses conséquences sur le présent."

 

El Khabar, 2 novembre 2009: "Je ne reconnais pas le triptyque des interdits et des "constantes nationales" si elles s'opposent à la vérité."

La Tribune, 2 novembre 2009: "Ce ne sont pas les romanciers qui ont provoqué les deux cent mille morts des années quatre-vingt-dix...  La liberté n’a jamais tué, c’est le refus de la liberté qui tue."

France Inter, revue de presse du 17 septembre 2009: "Le pouvoir algérien, dit l'écrivain, n'a de cesse de voter des amnisties pour qu'on oublie les crimes commis."

 

France Culture, 19 novembre 2009

Alger chaîne Trois, 1 novembre 2009, émission "Vivre Ensemble" 

 

Beur FM, 16 novembre 2009, émission "Question de tout"

 

Médi1, 27 décembre 2009, émission "Un livre, un débat: le point de vue d'un auteur qui nourrit la polémique:  

 

My Boox8 février 2010: "Mélouza, c'est la honte absolue pour l'Algérie".

 

 

AOL Video, Janvier 2010 : " l'Algérie mérite qu'on l'aime au prix de la vérité".

 

Valencia, printemps 2012, Institut français, dans le cadre du cycle : "D'un printemps l'autre"

 

 

Radio Montréal, 7 avril 2010: "... On vous a comparé à plus d'un écrivain et pas les moindres, on vous compare à Camus, on vous compare à Dostoïevski, vous êtes le Faullkner méditerranéen..."

 

Radio spirale, 6 avril 2010, Causerie avec Anouar Benmalek enregistrée à la librairie Olivieri, 2e Maghreb du livre de Montréal

 

El Watan, 28 mai 2010:  "...Je soutiens, quant à moi, que la guerre de libération était indispensable, mais que les crimes commis en son nom ne l’étaient pas... Le FLN n’a jamais condamné les crimes de guerre d’Amirouche et de [...] Mohammedi Saïd...  Il les a de facto cautionnés et repris à son compte..."

Algérie News, 1 juin 2010: "Il ne faut pas avoir peur de la vérité. Nous avons déjà payé le prix cher à cause du mensonge. La vérité c’est ce qui rend le peuple adulte. Questionnez n’importe quel  paysan algérien qui a vécu la guerre, il vous dira que, certes, il admirait les moudjahidine mais aussi qu'il en  avait peur..."

 

 

Autres sources

 

Le blog de HYB: " Ce bouquin est fait de glue. Il épuise mais ne lâche pas. C’est un anti-Lexomil puissant. On le rêve en lunettes. C’est une prise de tête, un coup au foie. Ce roman vaut cent fois plus que 23 euros. Il fallait l’éditer en quantité limitée ; enchères sur e-bay, cinq exemplaires sur vélin dont deux dédicacés. Tous droits de traduction et de reproduction interdits sauf pour la Sainte Arabie Saoudite. On aurait pu lire dans les petites annonces du Figaro littéraire : « Échange bel appartement vue panoramique sur Paris contre Benmalek en bon état » ...  Un chef-d’oeuvre sans prix qui mérite calligraphie et enluminures à la feuille d’or.

Art-Dz, Max Vega-Ritter: "Voici un roman qui, malgré sa longueur, tient le lecteur sous le couteau de l’angoisse et de la douleur jusqu’au bout... L’art du suspense dans la cruauté y atteint un sommet..."

Citrouille (revue des libraires qui vous veulent du bien), Nadia Roman, 8 novembre 2009: "...Le rapt a pour but la réparation symbolique des assassinats d'enfants..."

Médiathèque Louis Aragon: "...Construit comme un thriller ce roman du grand écrivain algérien Anouar Benmalek nous embarque sans répit dans l'horreur absolue ! Car le ravisseur ne semble avoir d'autre objectif que de faire sentir aux parents de la jeune fille ce que signifie réellement le fait de perdre un être cher et d'être torturé sans relâche, inlassablement, jour après jour, heure après heure. Le lecteur fait ainsi, à l'instar du père, l'expérience assez insoutenable de la douleur absolue : on croit que ce qu'on vient de subir est un sommet infranchissable, que ce qui va advenir ne peut être pire, et pourtant le pire survient, et un autre pire, encore, inlassablement, sans qu'on puisse espérer à un moment que cela va bien finir par s'arrêter, qu'il existe bien une limite..."

Hébert Elisabeth, (membre du jury France Télévision), Amazon.fr, 9 déc. 2009: "Terriblement magnifique, Terriblement bouleversant... Ce livre inspiré d'une histoire vraie ne peut pas laisser indifférent: on ne sort pas indemne de cette lecture. Le style, au premier abord cru, n'est jamais vulgaire; l'humour caustique du personnage est décapant mais aussi rassurant. Sans dévoiler l'intrigue, je dirai que j'ai éprouvé des sensations d'horreur "attention aux âmes sensibles ", certaines scènes sont décrites avec une telle réalité qu'elles m'ont donnée la nausée. Cependant je n'ai pas pu ne pas les lire jusqu'au bout, j'aurai eu l'impression d'abandonner les personnages à leur triste sort. Leur souffrance me taraudait sans cesse et je n'ai été apaisée qu'à la dernière ligne. Captifs sont les personnages, captive je suis devenue."

Léna Margerie, site Myboox, 4/11/2009: "...C’est un roman très noir... mais qui ne manque pas d’amour ni même d’humour – cynique et dérisoire, certes, mais humour tout de même... La façon dont Anouar Benmalek entrelace différentes périodes de l’Histoire d’Algérie, la façon dont il fait monter le suspense, sa façon qu’il a de décrire les sentiments contradictoires, de pénétrer dans l’esprit des personnages, de retransmettre la peur et la souffrance, tout cela est remarquable et fait du Rapt un roman extrêmement riche en émotions et sentiments"

Babelio, 7 janvier 2010: "...Le lecteur navigue entre passé et présent, à travers le tableau d’une Algérie déchirée par tant de violence. L’auteur ne prend le parti ni de l’Algérie ni de la France, l’amitié impensable entre Tahar et Mathieu permet d’évoquer les atrocités commises par les deux camps... Toutes ces injustices commises au nom d’une Libération, ces tortionnaires et assassins amnistiés dans le but de tourner la page, laissent rageur..."

Blog du Monde, 30 avril 2010, H.B: "De retour d’Algérie, j’ai ramené avec moi un butin d’ordre littéraire: le dernier livre d’Anouar Benmalek. C’est un livre qui vous saisit à la gorge dès les premières pages et qui ne vous lâche plus. Il vous renvoie l’image de cette Algérie que seuls les plus de trente ans regrettent. Pour les autres, comme pour les barbus, l’Algérie d’aujourd’hui répond parfaitement aux normes. À l’image de leurs dirigeants, ils savourent une Algérie apurée, débarrassée des résidus des premières années post-indépendance, des intellectuels et des artistes. Une société définitivement sellée dans le béton du moyen-âge. Le Rapt est le titre de ce livre qu’on n’a pas vu en Algérie depuis Nedjma de Kateb Yacine ou la Répudiation de Rachid Boujedra. Il décrit une Algérie telle que je viens de revoir: des villes poubelles, une société kafkaïenne. Mais le plus dure dans tout cela, c’est ce sentiment que nombre d’entre nous ont, celui de l’avoir perdue à jamais. Le Rapt, c’est celui de cette belle Algérie de 1962, tombée entre les mains d’une bande de voyous, puis revendue à une bande de barbares, trente ans plus tard. "

Au jardin des songes, Elisabeth Hiramily, 26 juillet 2010: D'abord quelques mots de l'auteur et du succès de cette œuvre, Le Rapt, chez lui d'abord en Algérie avec un extrait repris dans le journal El Watan lu par des millions d'Algériens ... Je n'aurais pas pu mieux décrire ce que j'ai ressenti en le lisant. En plus il traite les protagonistes de la sale guerre sans complaisance, mettant un peu dans le même sac, les fellagas, les harkis, les Français, tous ceux qui ont fait que cette sale guerre laisse encore des traces aujourd'hui dans le cœur de tous les Algériens qui l'ont vécue sans jamais aucun pardon de la France pour les atrocités à l'égard de pauvres innocents, femmes et enfants comme vieillards et pauvres sans aucune défense... Un livre qui m'a marqué et un auteur que j'ai découvert et que je vais m'empresser de découvrir plus en profondeur , je pars donc à la recherche d'autres romans de lui...

Le Blog d'Eveline Caduc, 13 septembre 2010 : "... Grand[] roman...  Puissance de la construction dramatique d'un récit à rebondissements dans Le Rapt où le « je » du père peut devenir un « il » sous le regard d'un autre « je » ... Voilà  donc en 513 pages et à la façon d’un roman policier, une histoire bien ficelée composée par un écrivain qui sait jouer avec l’humour et l'ironie.

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Le Pénalty, nouvelle publiée dans le recueil "Les enfants de la balle" chez Lattès, mai 2010

Public Sénat, 20 mai 2010:

 

 

TV5 Monde, émission "Sept jours sur la planète", 25 mai 2010

 

 

 

Europe 1, émission de Pierre-Louis Basse, 14 juin 2010: " Un texte formidable... une magnifique fiction autour d'un match de foot et de la mémoire perdue"

 

 

Beur FM, 7 juillet 2010, émission "Question de tout", Philippe Robichon:  

 

Words Without Borders, July 2010, translation of The Penalty  from French by Edward Gauvin) : "Everyone around him was screaming. Terrified, he wondered what the uproar was about. The expression on his face must have been so alarmed that someone was moved to pat his arm out of pity..."

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Tu ne mourras plus demain, récit, Ed. Fayard, Ed. Casbah, octobre 2011

« …Toi, maman, dont l’absence me vide le cœur, avec qui dîneras-tu alors ce soir et les autres soirs de l’infini ? »                             

Présentation de l'éditeur:

De la généalogie tourmentée de sa mère, née des amours, hors normes à l’aube du XXème siècle, d’une trapéziste suisse et d’un Marocain lui-même fils d’une esclave mauritanienne ; de l’histoire de son père, passionné de théâtre, qui s’enfuit de Constantine où il ne pourrait jamais devenir comédien vers un Maroc où finalement il devint professeur ; de leur rencontre digne de mille livres, de mille films : elle à sa fenêtre, lui dans la rue, se regardant, ne disant rien, mais s’aimant déjà ; de tout cela, Anouar Benmalek envisageait de tirer une de ces vastes sagas familiales qui font s’embrasser les siècles et s’épouser les pays. 

    Mais sa mère vient de mourir. Et c’est un autre récit que l’amour filial lui impose d’écrire. Récit plus intime, même s’il est traversé parfois par des personnages extraordinaires comme cet ancêtre bavarois, Juif peut-être, constructeur de synagogues, cet autre, Suisse,  choisissant d’être Allemand à un mauvais moment du siècle dernier, ou cette tante, Algérienne, que la passion claquemure tragiquement dans la folie. 

   Récit plus poignant également. Ultime et débordante preuve d’affection à quelqu’un qui ne pourra plus l’entendre.  L’écrivain y retrouve, en retraçant douloureusement la vie de celle à qui il doit la sienne, les thèmes qui hantent son œuvre depuis toujours : la misère des origines, le racisme, l’intolérance, et le combat infatigable que livrent, malgré l’absurdité intrinsèque de l’existence,  l’espérance et la bonté pour se ménager une petite place dans l’histoire des hommes. Car l’histoire est là, et au fond la saga aussi : plus fiévreuse, plus intense, plus émouvante que celle qu’aurait pu imaginer un écrivain qui ne se serait pas souvenu être un homme, né du ventre d’une femme. Et finalement les siècles s’embrassent quand même, et les pays s’épousent, dans l’évidence que l’amour maternel est universel.

 

: El Watan, Nacima Chabani, 24 septembre 2011: "Anouar Benmalek revient sur la scène littéraire avec un texte pathétique  Tu ne mourras plus demain. Un roman dédié à sa défunte mère. Avec des mots pleins de tendresse, il s’adresse à sa maman avec beaucoup d’humilité. «Qui s’étonnerais-je que j’écrive ? Ma généalogie est un roman. Mais aujourd’hui, maman est morte. Et le seul roman que j’aimerais écrire, c’est celui de l’amour que je ne lui ai pas assez manifesté», écrit-il ".

L'Expression, 0.Hind, 26 septembre 2011: "Au stand des éditions Casbah, le ministre de la culture Français M. Frédéric Mitterrand s'est vu remettre le[] nouveau[] roman d'Anouar Benmalek, lequel vient de sortir en Algérie avant d'être édité[] en France chez Fayard. Une exclusivité donc. «Comme ça, vous irez voir les maisons d'éditions françaises en leur proposant de faire de la coédition avec les Algériens. Vous direz à Fayard que c'est la seule manière de vendre des livres français en Algérie», lui suggéra Khalida Toumi, la ministre de la culture algérienne, en lui tendant ces livres qui coûtent à peine, dit-elle, «5 euros car ils sont édités ici".

: El Watan, Rémi Yacine, 27 septembre 2011: "Il ne faut pas se fier à son titre à la James Bond ; le dernier livre d’Anouar Benmalek est une plongée dans la douleur. Comment survit-on après la perte de sa mère ? D’un ton intimiste, quelquefois caustique, l’auteur du Rapt nous raconte l’inénarrable."

L'Expression, O. Hind, 2 octobre 2011: "Dans un long monologue où il s'adresse à sa mère, l'auteur nous plonge dans sa vie intime mais aussi celle des Algériens avec et ses instants de bonheur et ses aléas. Un livre intime plein de pudeur mais intransigeant et profond."

La Nouvelle République, Hassina A.,4 octobre 2011: " un ouvrage très intimiste... Plus qu’un cri de douleur, Tu ne mourras plus demain, c’est le fil illusoire qui rattache un fils au souvenir de sa mère, par delà la mort. Un livre déchirant comme l’est la disparition d’un être cher. A lire absolument ! "

El Moudjahid, Kafia Ait Allouache, 5 octobre 2011: " L’auteur des Amants désunis, de l’Enfant du peuple ancien, de Ô Maria et du Rapt, Anouar Benmalek, se distingue de nouveau avec son dernier roman Tu ne mourras plus demain... Un récit poignant..."

Midi libre, Kahina Hammoudi, 2 octobre 2011: "Anouar Benmalek présente Tu ne mourras plus jamais au Salon international d'Alger, un ouvrage autobiographique, déchirant et poignant."

Les Lettres Françaises, Jean-Pierre Han, 6 octobre 2011: " Benmalek remonte le temps dans des   « pages affamées de passé », et reconstitue son   roman familial, et quel roman ! Avec des protagonistes   qui sont de véritables figures de fiction... Ce « petit » livre, aux antipodes des   sagas coutumières de l’auteur, est précieux à plus  d’un titre titre : il met au jour la tragédie d’exister, et son   bonheur aussi... "

Culture Sud, Yahia Belaskri, novembre 2011: "... Un texte bouleversant. L’écrivain franco-algérien, Anouar Benmalek, auteur de Les Amants désunis, Ô Maria, Le Rapt , romans remarquables et remarqués, entre autres, abandonne la distance et la fiction pour livrer une part intime de lui-même, de son histoire familiale..."

Culture Sud, Y.B., novembre 2011 (interview): "...J’ai alors décidé que mon chagrin, ce chagrin tout ce qu’il y a de plus brut, de plus vrai, de plus insupportable, serait abordé, sinon circonvenu, par le biais de cette grande consolatrice qu’est la littérature - et offert comme présent posthume à cette femme sans vie allongée devant moi...."

 

Alger chaîne Trois, 6 octobre 2011, Youcef Sayeh, émission Papiers bavards: "Terrible mais magnifique et poignant récit... Il est toujours très tôt trop tard"

Canal Algérie, Culture Club, Karim Amiti, 9 septembre 2011: "L'émotion est terriblement forte..."

 

 

Canal Algérie, Expression livre, Youcef Sayeh, 18 septembre 2011: "Magnifique récit, un magnifique hymne à l'amour, un hommage extraordinaire..."

 

 

Beur FM, Philippe Robichon,  23 octobre 2011: "La tragédie de l'existence... Terrifiante... Les questions qu'on aurait voulu poser..."

France Inter, Paula Jacques, émission Cosmopolitaine, 4 décembre 2011: "... C'est un grand chant d'amour, une lettre adressée à votre mère... Votre livre commence au contraire de celui de Camus... Un chant incantatoire pour la mère disparue... Terriblement émouvant, la vie passionnément présente... De l'intérieur du tombeau va surgir la vie..."

:logo InfoFrance Info, Philippe Vallet, émission Un jour un livre", 6 avril 2012: "Un livre bouleversant... de celui qui est parfois qualifié de Faulkner méditerranéen"

El Moudjahid, Linda Graba, 19 décembre 2011: ". ..une parole profonde... Un amour posthume qui plonge au plus profond des complexités humaines... Selon un sondage de la presse privée algérienne, vous faites partie des dix personnalités qui ont marqué l’année 2009. Par ailleurs, votre nom a été cité dans la liste des écrivains nobélisables..."

Afrique magazine, Sarah Elkaïm, décembre 2011-janvier 2012: "... Souvent qualifié de Faulkner méditerranéen, il construit une oeuvre visionnaire..."

La cause Littéraire, Mohammed Yefsah, 21 décembre 2011: " Avec Tu ne mourras plus demain, titre qui sonne comme le premier vers d'un poème, Anouar Benmalek a posé les plus beaux chrysanthèmes sur la tombe de sa mère, un immense bouquet de pages d'amour"

L'ivrEscq,  Nadia Sebkhi, novembre-décembre 2011: "Une stature incomparable... une écriture puissante... Un livre intense... rempli de tendresse... Un pur bonheur...

Le Soir d'Algérie, Hocine T., 26 décembre 2011: "Tu ne mourras plus demain est une victoire sur la folie et la déraison. Ce beau livre témoigne du difficile combat de l’auteur contre les forces obscures qui l’habitaient. Son territoire enfin reconquis, il pourra désormais travailler jusqu’à épuisement. Pour le plus grand bonheur des lecteurs qui, déjà, sont invités à dévorer son dernier ouvrage. Ici, l’émotion est au rendez- vous et chaque page frémit d’une vive sensibilité... à lire absolument..." "

El Massa, Latifa Darib, 27 décembre 2011: " Une grande tristesse, une grande colère"

Kalila, Idris Nissili, janvier 2012: "Un nouveau roman bouleversant... Un tableau extraordinaire de ce qu’était la période coloniale..."

Marrakech (quotidien), Samira Bendris, 5 janvier 2012: " Encore plus fort que tous ses ouvrages précédents dont chacun dévoile la sensibilité de l’homme et le talent de l’écrivain, son dernier livre, Tu ne mourras plus demain est un récit poignant fait d’une succession de sentiments où s’entrechoquent amour, colère, peine, douleur, souvenirs, regrets… où la vie et la mort font la paire... Il y’a de ces livres dont vous ne voulez pas arriver à la fin, tellement les mots sont forts...

 

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