Festival international de la littérature et du livre de jeunesse

21 au 29 août 2008, Alger

                                                                                                                                          

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Programme

Extraits de presse

Le Soir d'Algérie, Samira Hadj Amar, samedi 23 août 2008

    Jeudi soir, l’esplanade de l’Office Riad El Feth offrait une très belle image. Au pied du monument des martyrs, la jeunesse algérienne a fait la fête... Autre temps fort: dans les allées, de belles rencontres ont eu lieu. Notamment celle du poète, journaliste et écrivain Anouar Benmalek. Souriant comme à son habitude, il a accepté volontiers de se prêter à des séances photos et de répondre aux questions. Comme, il a su planter le cœur du verbe dans le «Jardin de mots» initié hier après-midi en compagnie de Fouzia Aït-El Hadj et Younès Adli, journaliste et romancier. Pour les «Passeurs de savoir», Anouar Benmalek animera, ce soir dès 19h, une table ronde autour du thème «une approche de la littérature maghrébine d’expression française»

Liberté, Salim Koudil, mercredi 27 août 2008

    La manifestation donne lieu à une grande animation nocturne à l’esplanade de Riadh El-Feth. Un festival littéraire très festif... Anouar Benmalek  [est] un auteur à succès et derrière plusieurs polémiques ayant secoué le monde de la littérature algérienne...

 

El Watan, Nadir Iddir, 25 août 2008 

 ... Nouveauté pourtant dans cette librairie (Librairie du Tiers Monde, Alger-Centre) : des livres que l’on dit censurés par l’autorité officielle trouvent place sur les étals. Anouar Benmalek est vendu malgré le tollé qui a entouré la parution de son livre en France en 2006, Ô Maria...

Le soir d'Algérie, Lyès Menacer, 25 août 2008:

         Le débat sur la littérature maghrébine dite d'expression française occupe toujours les débats des universitaires... Certains d'entre eux ainsi que certains écrivains, issus du Maghreb et qui ont choisi d'écrire en français, récusent cette appellation qu'ils jugent réductrice, suspecte, comme l'est aussi cette notion de littérature francophone. La table ronde, qui a été organisée hier soir, à l'occasion du Premier festival culturel international de la littérature et du livre de la jeunesse, a tenté d'apporter des éléments de réponse à une question, sujet à «polémique» dans le monde de la création littéraire... Pour l'écrivain algérien Anouar Benmalek, le problème de l'identité ne se pose pas, dit-il. «Je n'ai pas de problème d'identité. J'essaye seulement d'être écrivain. Je ne lis pas un écrivain parce qu'il est de nationalité algérienne, marocaine, brésilienne ou autre. Je lis un auteur parce que son histoire m'attire», justifie-t-il sa position par rapport à cette idée qu'il y a des écrivains français et des écrivains non français mais qui utilisent la langue française dans la création littéraire. «L’histoire a fait du français la langue que je manie le mieux. Et si je puise le contenu de la plupart de mes romans de l'Algérie, ce n'est pas du tout par obligation patriotique. L'Algérie c'est seulement le pays que je connais le mieux», ajoute-t-il précisant qu'il écrit sur des problèmes que l'histoire lui a donnés. «La littérature c'est cette volonté d'exprimer l'imaginaire d'une société. Je refuse donc cette volonté à me mettre dans une espèce de parc zoologique qui vise à réduire la littérature maghrébine ou tout autre littérature produite en français à une sous-littérature», conclut-il.

 

Le Courrier d'Algérie, Talsa M., 25 août 2008

    ... Notre écrivain journaliste Benmalek a exprimé son désir d’écrire dans les langues arabe et amazighe mais le destin en a voulu autrement, affirmant au passage, et loin de toute fausse modestie, s’essayer à être écrivain et ne pas se confiner dans une catégorisation...  Le plus important pour moi est d’écrire... Anouar Benmalek a tenu aussi à dire que son seul souhait est que le lecteur, une fois avoir lu la première page de son roman, s’empresse de lire les suivantes, déclarant au passage que ses œuvres sont lues "avec beaucoup plus d'intérêt en Algérie car, expliquera-t- il, ils transmettent un imaginaire qui peut être partagé. "L'essentiel de la littérature ce n'est pas le particulier mais comment arriver à l'universel en partant du particulier", a ajouté l’écrivain.

 

La Tribune, mercredi 27 août 2008,

    ... Quant à l’écrivain, romancier, nouvelliste, Anouar Benmalek, il entamera son intervention par «j’essaie d’être un ouvrier des mots, un écrivain, je n’ai pas de problèmes d’identité. Mon seul souci, c’est quand je propose un livre à mes lecteurs, j'espère qu'une fois la première page lue, ils passeront à la deuxième»... Le «Faulkner méditerranéen», comme on le nomme,  a indiqué qu’il aurait aimé écrire dans les langues arabe et amazighe, mais le sort a fait que «la langue que je maîtrise le plus est le français», a-t-il conclu.

 

El Khabar, 24 août 2008

 

Canal Algérie: émission Bonjour l'Algérie, 23 août 2008, interview

Radio Chaine 3:  émission, L'invité mystère,  22 août 2008, interview

Radio Chaine 3: émission Le métier du jour, 28/08/2008, interview

Radio Chaine 4 internationale: 23 aout 2008, interview